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 fireball › brann

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MessageSujet: fireball › brann   fireball › brann EmptyMer 5 Avr - 16:35

brann holden svendsen
live fast, die young, leave a good-looking corpse.
The Day Will Come When You Won't Be
nom : svendsen. y'a pas plus basique comme nom nordique. prénom : brann. le feu, en norvégien. t'étais prédestiné, bordel. holden, c'était le petit frère de ta mère. il est mort quand ils étaient jeunes. parfois elle t'appelait comme ça sans s'en rendre compte. surtout quand t'étais petit, parce qu'après son inconscient n'associait plus son souvenir à l'enfant perverti que tu es devenu. âge : vingt-quatre ans. presque un quart de siècle. pour toi ça veut pas dire grand chose. date et lieu de naissance : juin. t'en sais rien de s'il faisait beau ou combien coûtait un pack de bières à l'époque à anchorage. nationalité : américain. si la nationalité importe encore dans un monde sûrement décimé. origines : norvégiennes. ton grand-père vient de là-bas, du grand froid, du pays où tout le monde est blond. enfin, c'est ce qu'on t'a dit. t'es jamais allé vérifier. situation civile : célibataire. c'est ce que tu dirais si on te posait la question. mais tu sens bien que t'es lié à lui. plus que ce que tu voudrais bien croire. orientation sexuelle : homosexuel refoulé. plus trop maintenant. t'en sais rien. c'est pas une question que tu te poses. c'est les faits qui s'imposent. ancien métier : pompier. les gamins t'envoyaient des dessins pour te remercier d'avoir sauvé leur chat ou leur maison. et toi, tu étais au milieu des flammes. le nirvana. ancien lieu d'habitation : new york. là d'où tu t'es tiré. camp actuel : horsemen. un cavalier de l'apocalypse qui sème un enfer ardent là où il passe. groupe : rock in the road crédits : ultraviolences.  

just survive somehow.

(001), t'as un problème avec le feu. une fascination. bon, t'es un putain de pyromane. pas pou rien que t'es devenu pompier. tu voulais pouvoir approcher les flammes, les dompter et en même temps sentir qu'elles pourraient te dévorer si elles le voulaient. tu les domines tout en y étant soumis. maintenant tu les répands pour marquer la domination des horsemen. là où vous passez l'odeur du cramé se disperse souvent dans l'air. les volutes sombrent s'élèvent vers le ciel. (002), t'as plein de tics. certains pensent que t'es dérangé, mais pour toi c'est logique. les phalanges qui craquent c'est depuis tout petit. se frotter les mains, c'est venu après. tourner le briquet dans ta poche, encore plus tard. laisser la flamme danser sous la paume de ta main. (003), t'as un caractère de merde. toujours à contre-courant. le second degré et toi, c'est une histoire qui dure depuis longtemps. provoquer les autres, tirer la queue du diable, tu sais faire que ça. t'es resté le gamin en colère contre ses parents. toujours là, à parler de ce qu'ils ne veulent pas entendre. à faire ce qu'ils ne veulent pas voir. pareil aujourd'hui. il y a ceux qui savent comment tu fonctionnes. et ceux qui comprennent pas, qui te prennent pour un petit connard prétentieux et immature. ceux-là, tu rêves de les brûler. pas les premiers vivants que tu mettrais sur le bûcher. (004), avec lui, vous vous êtes connus quand vous étiez ados. c'est chez lui que t'es parti vivre quand tes parents sont morts. tu saurais pas vraiment mettre un nom sur la relation que vous entretenez depuis. vous deux, c'est... sans nom. et c'est très bien comme ça. pour les autres, vous êtes tic et tac, ou les jumeaux. ils sont pas nombreux à se douter que ça devient plus qu'un lien fraternel. ça l'a toujours été, au fond. les baisers que vous avez échangés, que vous échangerez encore sûrement, ceux-là vous ne les expliquez pas. vous êtes là l'un pour l'autre, c'est tout ce qu'il y a à savoir. (005), y'a des fois où t'es pas bavard. où tu veux pas qu'on te parle, où y'a que lui qui peut t'adresser la parole. et encore, tu lis sur ses lèvres et lui sur les tiennes. il est de ces moments où ton esprit combat des torrents de flammes qui ne demandent qu'à sortir, et que tu maîtrises avec difficulté. alors une remarque de travers et c'est l'enfer. tes poings qui se déchaînent. parce que tu es violent. instable. tout le monde le devine, mais peu veulent en avoir la preuve. (006), t'es pas un mauvais gars. t'as des limites. c'est souvent lui qui va te les rappeler mais tu passeras jamais au-dessus. tu violes pas d'enfant, tu craches pas sur les femmes. tout ce que tu fais, c'est calciner les restes d'une vie, d'une époque. tu ne brûles pas les vivants gratuitement. seulement ceux qui l'ont mérité. enfin ce curseur, il est subjectif. tu le sais bien. (007), tu dessines. t'es pas un artiste non plus, tes traits sont simples et évasifs. mais ça te détend. souvent tu le dessines lui, comme lui te chantes souvent des chansons pour calmer tes songes et t'endormir. les nuits enflammées. pas torrides, terrifiantes. ces cauchemars qui continuent d'hanter tes nuits. (008), tes parents, c'étaient des catholiques purs. des conservateurs, fuyant l'image du Malin à tout prix. tu sais pas trop comment ça a commencé. ni pourquoi. tu te doutes que les regards que tu portais sur les garçons de ton âge à l'adolescence, ça a amplifié la chose. pourtant toi tu ne t'en étais même pas rendu compte. c'était normal. pour elle, non. ton père se contentait d'entendre les cris venant de l'étage. il laissait les basses besognes à sa femme. te purifier, et tout. (009), avec lui, vous aviez seulement planifié une virée entre mecs. un week-end vers le sud. ce que vous saviez tous les deux être un voyage sans retour, à la thelma et louise. sans l'option suicide à la fin. parce que vous saviez très bien que vous ne reviendriez pas à new york. que vous recommenceriez tout ailleurs, à deux. peut-être que sans toute cette merde apocalyptique, vous seriez... t'en sais rien. vous vous posez sûrement tous les deux la question. mais comme tout entre vous, vous la laissez sans réponse. (010), ça t'arrive de sourire. souvent même. parce que t'as de l'humour. et ce qui te fait le plus rire, c'est le monde actuel. tout ce qui se va de travers. les instincts des hommes révélés. et toi qui le sentais, quelque part. alors tu ris tout seul. amusé par l'ironie tragique de dieu. tu sais, celui qui t'enverrait en enfer, dixit ta mère, avant que tu la brûles.
we are the walking dead.
lafayette, louisiane, qu'en pense votre personnage ?

l'utopie. lafayette, c'est une utopie à tes yeux. tu te souviens qu'en cours de littérature française, on t'a fait lire candide. et que pendant ce petit connard se baladait dans l'eldorado, t'avais toujours l'impression que quelque chose allait lui arriver, parce que c'est ce que tu crains avec les utopies : qu'elles ne soient justement qu'illusions. avec candide, tu t'es trompé, mais avec lafayette, t'en as pas l'impression. c'est que toute cette discipline qu'on impose aux gens, c'est assez hypocrite compte tenu de ce qu'on t'a rapporté du conseil et de la milice. vous êtes peut-être des pillards et des enfoirés, mais vous ne vous cachez pas derrière des faux-semblants. malgré tout le confort qu'ils ont, tu n'es pas sûr qu'ils soient libres, là-bas. ce dont tu es certain,
c'est que tu n'y serais pas libre de déchaîner tes flammes.


mahanga rémi.
ft. jack o'connell personnage inventé.

âge : dix-sept ans. fuseau horaire : paris. fréquence de connexion : fréquente. où avez vous connu le forum : top-sites. avis & suggestions : trop coooool. votre mot de la fin : bizous.  :aw:


Dernière édition par Brann Svendsen le Jeu 6 Avr - 1:23, édité 5 fois
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MessageSujet: Re: fireball › brann   fireball › brann EmptyMer 5 Avr - 16:35

dead man walking.
attack life, it's gonna kill you anyway

- BRANN. n. m. (du norv. feu) -

I. Le bois s’abat sur sa peau. Un épais trait se creuse pendant plusieurs secondes sur sa peau. L’objet tamponne une trace rouge sur son épiderme, qui tend ensuite vers le rosé. Pour qu’il redevienne blanc, il faut attendre plusieurs heures. Parfois une nuit, parfois deux quand c’est son père. Aujourd’hui, il a échappé à la ceinture, et surtout au côté boucle. Les semaines paires, c’est la canne, de toute manière – c’est un cycle qu’il a remarqué à force d’habitude.

Brann reste concentré sur le blanc de la baignoire. Il voit les quelques gouttes qui restent collées à la paroi, adhérents, glissant à peine. Pourtant elles tombent, une à une, après plusieurs heures d’immobilité. La faute à Brann qui fait trembler la baignoire à chaque nouveau coup. Il sent l’eau perler au coin de ses yeux, aussi. Plus salée. Plus amère. Il veut éclater en sanglots, mais a trop peur de s’en prendre cent en plus. « Et trois-cent ! Bravo, j’ai mal à la main maintenant ! » Sa mère lui scène un dernier coup de canne pour marquer le coup et la range dans le placard. Puis elle s’agenouille près de lui, lui susurre quelques mots à l’oreille. De tout ça, Brann ne retient que la moitié des propos. Flammes. Enfer. Purifier. Mais surtout flammes. Quatre ans qu’il entend le même discours. Que s’il continue à pêcher, Dieu l’enverra purifier son âme dans les flammes de l’enfer, pour l’éternité. Il y sera tourmenté par les démons qu’il a lui-même propagés sur Terre. Leurs paroles même sont des hérésies. Des putains de connerie. Ce sont eux qui devraient être purifiés. De l’intérieur. Leur âme. Brann sait que Dieu dit de tendre l’autre joue. Or, ça fait trop longtemps qu’il courbe l’échine et tend les fesses à ses bourreaux.

II. Les flammes dansent devant ses yeux. S’échappent par les fenêtres, noircissent le ciel de minuit. Les volutes de fumée flânent, éparses, dans les airs. Il voudrait cacher son sourire mais n’y parvient pas. C’est beau. La fournaise grignote les murs et consume son histoire, l’histoire qu’il veut oublier. L’histoire qu’il veut réduire en cendres, pour souffler dessus et voir tous ces souvenirs s’envoler. Pas de vent contraire, juste une brise pour les emmener loin de lui. Le bois se fissure et craquelle, le toit tremble. Les fondations sont ébranlées. Elle va s’écrouler. Tout à coup Brann voit deux feux follets s’agiter entre les bras enflammés qui brûlent cette grande maison de poupée où torturer le plus petit était un jeu hebdomadaire. Il entend son cri strident, son cri effrayé, son cri de douleur. Son père s’est jeté par la fenêtre et se roule dans l’herbe. Le petit reste assis près du trottoir, les genoux repliés sur sa poitrine. Il commence à rire.

Soudain il voit des halos de lumières bleues et rouges à défaut de voir leur reflet dans les vitres soufflées par l’explosion toute récente. Un homme pose une couverture brillante sur ses épaules, prend ses rires transportés pour des sanglots. Un autre va aider l’homme agonisant, mais son coeur s’est déjà arrêté. Un dernier voit le corps calciné d’une salope. Tout ce à quoi Brann prête attention, c’est la fumée opaque qui s’échappe des fenêtres. Ses lamentations qui partent dans la galaxie. Loin de cet endroit de malheur. Comme lui.

Le pompier finit par l’examiner. Soulève la couverture qu’il a posée à la va-vite. Se rend compte qu’un morceau de verre a été projeté dans son épaule, à quelques centimètres de sa joue. Seulement, le petit ne sent rien. Rien du tout. Même pas l’œuvre de l’adrénaline. Il ne peut simplement rien sentir. Aucune douleur, à part celle qui loge dans son cœur,  à côté de toutes ces images de torture. Physique, morale, peu importe. Ça, il le sent.

III. Brann pose le dessin du petit sur la table. Il est venu le lui apporter avec ses parents, parce qu'il l'a porté hors du magasin avant que le toit ne s'écroule sur lui. Il est venu, il lui a sauté dans les bras, l'a remercié. Brann sourit encore. Lui est jaloux de ne pas en avoir eu, mais il en rit aussi.

Il retire son sweater et le jette sur le canapé, au visage de son colocataire. Et lui de le lui renvoyer, ou du moins d'amorcer son jet avant d'apercevoir du sang sur le tissu du vêtement. Pas longtemps pour s'apercevoir que Brann a encore reçu quelque chose, un projectile, un éclat de bois ou de verre dans l'abdomen. C'est son ami qui l'assied sur le tabouret de la cuisine, autrement il serait encore en train de partir prendre une douche. D'où il verrait le sang se mélanger à l'eau bouillante.
C'est devenu une habitude. Lui qui soigne Brann. Lui remet l'épaule qu'il trouve anormalement proéminente. Désinfecte les éraflures qu'il se fait sur la cuisse ou au mollet. Recoud ses plaies, comme à cet instant. Ces instants où il touche la peau insensible de Brann. Où Brann le regard du coin de l’œil, dans l'attente d'un geste qu'ils pourraient tous les deux partager. Sinon il écrase le mégot de sa cigarette contre sa paume et remet le bandage en place. Le bandage, le gant. Tout ce qui peut cacher les cloques. Des moments manqués comme celui-ci. Un jour, ça a dérapé. Un jour, ils se sont embrassé. Puis un autre. Et encore un autre. Mais pas l'un pour mettre des mots là-dessus.

Il finit par s'en griller une autre et la coince du bout des doigts entre ses lèvres. Se glisse dans sa baignoire écaillée, comme les bribes de mémoire qui lui manquent parfois. Quand il est heureux, il n’y pense pas. Mais quand il est en pleine descente, il se souvient de tout. Alors il plonge dans l’eau de sa baignoire. Ouvre son Zippo, frotte la molette, place sa main au-dessus. Attend. Attend que ça fasse mal. Attend indéfiniment. Pour ça que sa main ne ressemble plus à rien. Les torsades sont imprimées sur sa peau, gravées par la pointe de la flamme. C’est une horreur, c’est son horreur. Loin des conneries dont parlaient ses parents. Juste son fardeau, celui de ne rien pouvoir ressentir. Sur une face de son corps seulement. Tout qui fonctionne par deux chez lui. Le Gémeaux par essence. La violence, la discrétion. Le côté droit de son corps qui connaît la douleur, l'autre nom. Brann, et lui. Il se demande jusqu'où il reste insensible. Veut tester ses limites. Attend que son cœur cesse de battre, parfois. Rarement, mais l'idée traverse l'esprit. Mais au final, il s'en branle. Il veut juste voir danser la flamme. Brann finit par se lever, voit sa peau rougie. S'aperçoit qu’il s’est ébouillanté.

IV. Toujours dans les pires merdes qu'ils se fourrent. Au milieu de ce cimetière de caravanes, il a fallu que ce qui leur pose problème soit vivant et ait un putain de katana entre les mains. La hache est trop loin, près de leurs sacs à dos. C'était juste censé être une pause. Rien qui n'excède les cinq minutes. Brann a encore sa flasque à la main, lui une clope au bec.
C'est que ces deux cavaliers se sont détachés eux-mêmes du groupe pour se détendre, et qu'ils n'avaient pas prévu de se battre. Pas prévu que ces vieilles cabanes sur roues, la moitié bancales, étaient peut-être habitées. Ce mec, là, n'a pas l'air de vouloir sympathiser. Bon, il agite son sabre d'une manière assez lâche et inexpérimentée, faut dire. Dans la cinquantaine. Sa poule et le gamin qui les accompagne n'ont pas l'air plus fin que lui. En tout et pour tout, ils ont devant un katana, un poing américain et un pied-de-biche. De quoi faire rire Brann. Les éclats qu'il partage avec son partenaire. Ils tournent tous les deux la visière de leur casquette vers l'arrière. La même casquette. Blanche, pour ne jamais perdre de vue l'autre. La nuance immaculée qui dénote admirablement dans l'environnement morne et terne de l'apocalypse. « Pourquoi ils rigolent, les deux pédés ? » Et les lèvres de Brann de se figer sur l'instant. L'autre est moins versatile, mais il fronce rapidement les sourcils en voyant la main de son acolyte se raidir autour de sa flasque. Il tire une dernière bouffée de sa clope en lisant sur les lèvres du pompier. Prêt à laisser éclater le feu qui grandit en lui. « Vous croyez que j'vous ai pas vus vous galocher, là ? Quelle belle bande de tarlouzes, putain ! » Ils rigolent tous, les péquenauds. Une famille de connards. Le rouge qui lui monte aux joues. Il porte la flasque à sa bouche, décroche une grande rasade. Voit du coin de l'oeil son pote expulser la fumée entre ses lèvres à peine ouvertes. Un clin d'oeil. Un seul pour tout déclencher.
Brann qui crache l'essence au visage du fils de pute, l'autre qui relance de son mégot encore incandescent et le portrait qui s'enflamme dans des cris sonores et atroces. Elle qui hurle en se jetant sur le plus proche, sur lui. Un coup de pied de Brann pour la dégager, un coup de main pour récupérer sa hache. La faire tourner habilement entre ses doigts et arracher la gorge de cette salope. Une autre main pour aider son ami et les deux qui se retrouvent contre le gamin. « J'crois que t'es orphelin, champion. » Brann pouffe devant le sarcasme de son pote.

Avant de partir, il met un coup de crayon final aux visages des deux cadavres qu'il a croqué dans son carnet. Aux morts, il ne dessine jamais les yeux. Parce qu'ils n'ont plus cette fenêtre qui s'ouvrait sur leur âme.
Il les considère, tous les deux. Le gamin qui marcherait presque à reculons vers le campement. Lui qui le pousse de temps en temps, une main plaquée contre le flingue à sa cuisse. Il repense aux deux personnes qu'il vient de tuer. Au visage qu'il a sauvagement flouté par le feu. Le spleen qui lui demande s'il est encore un être humain. Et pas un monstre.
Peut-être qu’il est mort, et qu’il ne s’en rend pas compte. Peut-être que les coups de ses parents ont eu raison de lui, et que la manière que Dieu a trouvée pour le punir de ses péchés, c’est de le foutre dans cet enfer plein de morts-vivants. Peut-être pour ça qu’il ne sent rien, et qu’eux non plus.

Puis il revient à la raison. C’est juste un monde de merde.



Dernière édition par Brann Svendsen le Jeu 6 Avr - 11:39, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: fireball › brann   fireball › brann EmptyMer 5 Avr - 16:46

BIENVENUE SUR LE FORUM :(oo): :brille: :v: :smiile: :flirty: :kissou: :hihi:
aooon, très bon choix d'avatar et de métieeeer I love you et fucking hell, a new horseman :brille: bon courage pour ta fiche, n'hésite pas en cas de question ou whatever :flirty:
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MessageSujet: Re: fireball › brann   fireball › brann EmptyMer 5 Avr - 16:50

merci :cute: les horsemen c'est le bien tahu :héé:
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MessageSujet: Re: fireball › brann   fireball › brann EmptyMer 5 Avr - 16:51

ah mais grave, j'approuve totalement le choix :héé:
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Ivy Albrizio
Ivy Albrizio

MEMBER ▴ EVERYTHING DIES.
▴ avatar : Rose McGowan
▴ inscrit le : 02/04/2017
▴ messages : 208
▴ multi-comptes : Thalia Davenport
▴ points : 1727
▴ sac : sa dague fétiche réservée à trancher les chairs humaines ▬ un vulgaire couteau de chasse pour les rôdeurs ▬ une bouteille d'eau ▬ une flasque de gin ▬ quelques barres de céréales ▬ une lampe de poche ▬ un revolver ▬ sa death list ▬ un feutre noir ▬ quelques vêtements ▬ une trousse de premiers secours ▬ la montre de son premier amour
MessageSujet: Re: fireball › brann   fireball › brann EmptyMer 5 Avr - 17:20

Je dégaine Ivy pour te souhaiter la bienvenue, elle est pas validée mais je suis obligée ! J'adore l'idée de ton perso ... et que de bons choix ! Je te souhaite une bonne rédaction, je vais stalker ta fiche et il nous faudra un lien ! :cute:

Vive les HORSEMEN !!! :fire: :fire: :fire:
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MessageSujet: Re: fireball › brann   fireball › brann EmptyMer 5 Avr - 17:22

omg, la rose de planète terreur elle est tellement :smiile: et en plus ici elle fait partie des horsemen... jsens qu'on va s'amuser :héé: merci!
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MessageSujet: Re: fireball › brann   fireball › brann EmptyMer 5 Avr - 21:54

Hé bien, voilà un Horseman qui promet... et ça rigole pas dis donc :blase:
Hâte de voir nos personnages se confronter en jeu et bienvenue sur le forum ! :smile:
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Demetrius Rosenbach
Demetrius Rosenbach

ADMIN ▴ KEYS TO THE KINGDOM.
▴ avatar : Cillian Murphy
▴ inscrit le : 26/03/2017
▴ messages : 395
▴ multi-comptes : Aliénor & Levia
▴ points : 3150
MessageSujet: Re: fireball › brann   fireball › brann EmptyMer 5 Avr - 23:03

Quels choix !
Biiienvenue et bon courage pour ta fiche :)
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MessageSujet: Re: fireball › brann   fireball › brann EmptyMer 5 Avr - 23:21

bienvenue ici I love you
un perso qui promet :cute: et surtout un horsemen, il va nous falloir un lien :colère:
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MessageSujet: Re: fireball › brann   fireball › brann EmptyMer 5 Avr - 23:53

jvois que les horsemen sont appréciés par ici, j'aime :héé:
merci à tous! :lilheart:
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MessageSujet: Re: fireball › brann   fireball › brann EmptyJeu 6 Avr - 11:20

BIENVENUUUUUE :red:
Bonne chance pour ta fiche, si tu as des questions, n'hésite pas :keur: :a: :angel: :tongue: I love you :brille:
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MessageSujet: Re: fireball › brann   fireball › brann EmptyJeu 6 Avr - 11:38

Meurci toi I love you
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Shawn Cayson
Shawn Cayson

MEMBER ▴ EVERYTHING DIES.
▴ avatar : Ian Somerhalder
▴ inscrit le : 27/02/2017
▴ messages : 323
▴ multi-comptes : Rue Kingsley
▴ points : 686
▴ sac : Un carnet de feuilles accompagné de quelques crayons, ton portefeuille et un couteau suisse ; le tout rangé dans vieux sac à dos
MessageSujet: Re: fireball › brann   fireball › brann EmptyJeu 6 Avr - 14:24

Ton personnage est super intéressant :hearteyes: Et un Horseman : je dis oui oui oui :red: :red: Il nous faudra un lien avec mon DC Rue (une Horseman aussi :huhu: ).
Bienvenueee ici :titcoeur: :smile:
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Anonymous
Invité

Invité
MessageSujet: Re: fireball › brann   fireball › brann EmptyJeu 6 Avr - 16:48



validation, validation
t'es beau, t'es charmant, tu m'as l'air sincère
Hohoho, tu viens d'être validé(e) jeune sauterelle des îles, mais avant de passer aux hostilités, laisse-moi te dire une chose ou deux : le titre de ta fiche va tellement bien à tout c'qui se passe dans ta présentation :mdr: doux jésus, du feu, du sang, de la hache qui vole, j'adore :gaa: et puis une nouvelle recrue pour les Horseman, je ne peux qu'approuver ton perso et en redemander toujours pluuuuus :héé:

Maintenant, laisse-nous t'abreuver avec ce tumblr de folie où tu retrouveras des gifs très très drôles (attention aux spoilers). Si ce n'est pas déjà fait, va jeter un coup d'oeil dans le bottin des avatars afin de vérifier si on ne t'a pas oublié au passage, puis tu pourras aller recenser ton rôle et ton habitation si ton personnage vit à Lafayette. Et pour que ton intégration se passe bien, va te créer une fiche de liens et, si l'envie t'en prend, une chronologie. Tu vas pouvoir également te renseigner sur la gestion de tes points et participer à un rp mission. Si tu veux, tu peux aussi aller créer un scénario ou des pré-liens afin d'aider de futurs intéressés dans la construction de leur personnage. Mais puisqu'un forum est là aussi pour te distraire un max, viens nous rejoindre dans le merveilleux flood et supporte-nous dans la promotion du forum (on te le rendra bien, avec un max de bisous et de love).

voilà, maintenant que tu es validé(e), tu peux venir faire la fête avec nous et n'oublie pas que les admins sont à ta disposition 24h/24 (et même 38h/24 si des offrandes sont faites). amuse-toi bien parmi nous.
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MessageSujet: Re: fireball › brann   fireball › brann EmptySam 8 Avr - 21:46

Bienvenue par ici ! :cute:
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MessageSujet: Re: fireball › brann   fireball › brann Empty

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