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 (liam), don't let go.

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MessageSujet: (liam), don't let go.   (liam), don't let go. EmptyMar 21 Fév - 11:16

william bakh, dit liam
crawling back to you.
The Day Will Come When You Won't Be
nom : Bakh ; là où il travaillait, il s'était inventé un nom américain - comme beaucoup d'autres, un nom de scène qui ne ferait pas trop tâche dans le paysage. Aujourd'hui, on se contrecarre de savoir s'il s'appelle Chang ou Chesterton. prénom : William, surnommé Liam et (beaucoup plus rarement) Bill. âge : trente ans.  trente-et-un, un jour peut-être. date et lieu de naissance : 12/08/1986, Las Vegas (Nevada).  nationalité : américaine, puisqu'il est né sur le sol promis où le fameux American Dream pouvait revêtir bien des aspects. origines : coréennes, même si les grands esprits continuent à le percevoir comme étant chinois. situation civile : divorcé, d'un mariage qui aura duré dix jours grand maximum. Il s'est battu inlassablement contre les sentiments qu'il entretenait, et entretient toujours, pour la traîtresse. Celle d'avant tout ça, avant toutes ces merdes. ancien métier : réalisateur, ça rajoutait une masse de fric à son patrimoine déjà bien conséquent. ancien lieu d'habitation : Los Angeles, Californie. La ville où tout va vite, où les gamins plein d'espoirs galopent à la sortie du lycée. campement actuel : il appartient aux murs de Lafayette, après avoir été viré d'un autre camp fortifié. groupe : cold storage. crédits : captain (c), everything else @tumblr.  

just survive somehow.

ESFJ PERSONALITY, THE CONSUL.
"People who share the ESFJ personality type are, for lack of a better word, popular – which makes sense, given that it is also a very common personality type, making up twelve percent of the population. In high school, ESFJs are the cheerleaders and the quarterbacks, setting the tone, taking the spotlight and leading their teams forward to victory and fame. Later in life, ESFJs continue to enjoy supporting their friends and loved ones, organizing social gatherings and doing their best to make sure everyone is happy."

(001), Les Bakh étaient une famille réputée à Las Vegas, les géniteurs de Liam tenant l'compte d'une chaîne d'hôtels à travers tous les Etats-Unis. Malgré le divorce de ses parents, leur affaire a tenu bon et a continué à proliférer. Liam ne s'est jamais senti obligé à quoi que ce soit ; s'il est entré dans le monde de la réalisation, c'était par amour de l'image, non pas pour supporter la moindre de ses dépenses.  (002), Sa famille est grande puisque recomposée. Sa mère s'est remariée quelques mois après son divorce, tandis que son père est resté dans une logique qui allait à l'encontre de toute relation durable. (003), En 2005, il eut une aventure avec une actrice dont il s'occupait de la réalisation du film ; elle n'était ni très jolie, ni très talentueuse, mais elle était joyeuse. En août 2006, elle revint vers lui, un bébé dans les bras et prit la poudre d'escampette le jour même. Il ne s'était pas attendu à devenir père si tôt, surtout de manière si précipitée et surprenante. Mais Victoria lui apporta son lot de joies et de peines, elle lui donna des sensations qu'il peina à retrouver après sa mort. (004), Victoria contracta une leucémie en 2010 et mourut trois ans plus tard. L'horreur de la situation poussa Liam dans ses derniers retranchements et, s'il avait toujours eu un petit faible pour l'alcool et ses bienfaits éphémères, tout s'accéléra après la disparition de sa fille. Conscient de sa situation, il entra en cure de désintoxication en décembre 2013.  (005), Il y rencontra une jeune femme qui se faisait appeler Rebecca – et il l'aima. Il aima cette menteuse, il tomba pour cette traîtresse. Elle était sa sauveuse, celle qui parvint à atténuer ce trou béant qui logeait dans sa poitrine. Elle devint sa fiancée mais leur union n'atteignit jamais le mariage puisqu'il découvrit sa véritable identité ; Rebecca s'appelait Sam, Rebecca n'était pas celle qu'elle prétendait être mais une escroc qui voulait lui retourner les poches. Elle refusa de lui rendre sa bague de fiançailles. Grand bien lui fasse, qu'elle la garde. (006), Il retomba rapidement dans ses travers, en prétendant que tout semblait parfaitement normal. Mais Liam fut pris de court – la Californie commençait à être ravagée par un virus qui semblait tuer les gens, et les ramener à la vie en les dotant d'un seul instinct : celui de se nourrir. Lorsque cela sembla atteindre Los Angeles, il se précipita chez sa famille mais ses parents, frères, sœurs, étaient déjà partis. (007), Liam était seul. Pour la première fois de sa vie, personne n'était là pour lui dire que tout irait mieux. Il suivit alors les instructions données par les médias, et se rendit jusqu'au camp de survivants le plus proche. Là-bas, il se sentait en sécurité mais cela ne fut que de courte durée ; en décembre 2015, les rôdeurs envahirent rapidement les bâtiments et ne tardèrent pas à mettre l'armée à terre. (008), Durant sa course, il sauva une petite fille polonaise qui ne parlait pas un mot d'anglais. Ils inventèrent leur propre langage et communiquèrent du mieux qu'ils le purent ; il se sentait étrangement proche de cette gosse, de sa candeur, de ce regard aimable qu'elle portait sur le monde. En juin 2016, Gretchen lui apprit qu'elle avait ouvert la porte du camp aux rôdeurs. Que des gosses du camp avaient volé sa poupée. Qu'ils avaient mérité de mourir. Alors il prétendit vouloir jouer à cache-cache, et l'abandonna dans les bois. (009), Début septembre 2016, il rejoignit Fallon dans le Nevada et y passa deux mois somptueux. Deux mois où rien, absolument rien, ne vint troubler une existence qu'il trouvait paisible de nouveau. Il avait une bouteille dans son sac. Une bouteille qu'il ne voulut ouvrir que lorsque Rebecca – ou Sam – ou peu importait son prénom arriva à son tour à Fallon. Il ouvrit la bouteille, la but entièrement, et partit à la recherche d'une tête sur laquelle frapper. (010), Mais Sam l'en empêcha et, suite à cette rixe, ils se virent rejetés de Fallon, tournant en rond pendant un bon mois avant de trouver Lafayette. Lafayette, un paradis sur terre, au sein duquel il espère ne jamais replonger.
we are the walking dead.
lafayette, louisiane, qu'en pense votre personnage ?

Lafayette, malgré ses règles et cette curieuse impression d'avoir été projeté au sein d'une troupe de militaires tirés à quatre épingles, représente pour Liam tout ce qu'il a recherché les premiers mois de l'épidémie, et ce qu'il a pensé retrouver au sein d'une ville fortifiée avant d'en être rejeté. Une zone où le confort, la sociabilité et la protection sont réunis en une seule et même globalité. Lafayette, il veut y rester longtemps car, à cause de ses démons qui ont entraîné le rejet de Sam Wheeler du camp précédant, il essaie de repousser ses nombreux abus, mais cela lui semble être parfois peine perdue tant il se sent consumé par cette envie démesurée de boire. Liam est obnubilé à l'idée de conserver le confort qu'il a découvert à Lafayette et ainsi, il officie en tant que nettoyeur et soutient le Conseil pleinement, aveuglé par tout ce qu'il lui apporte.


penthésilée ophélia babe.
ft. steven yeun reprise d'un scénario.

âge : 100 ans. fuseau horaire : celui du festival des strings du gros chou. fréquence de connexion : en même temps que le string du gros chou. où avez vous connu le forum : sur le string du gros chou, en compagnie de tous ses autres strings. avis & suggestions : des strings pour les admins. votre mot de la fin : montre-moi la couleur de ton striiiiiing (oh string color) (si vous connaissez cette chanson, ça veut dire que vous êtes des vré lolo mdr ptdr)


Dernière édition par Liam Bakh le Mar 21 Fév - 11:24, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: (liam), don't let go.   (liam), don't let go. EmptyMar 21 Fév - 11:21

dead man walking.
cold dark earth.
CHILDREN'S HOSPITAL, LOS ANGELES, CALIFORNIA (JULY 2013) ★ Le monde semblait tourner au ralenti. Les murs étaient d'un blanc étincelant et l'odeur y était particulière ; les senteurs ne rappelaient en rien les fragrances naturelles des fleurs, malgré leur présence constante tout le long de cet étage. L'étage des gosses mourants, ceux qui n'feront pas long feu. On ne lui avait pas dit ça comme ça, on lui avait fait miroiter des espoirs vains, on l'avait placé sur le chemin si gracile d'une guérison possible. Mais à présent qu'il tenait la main – si blanche, si frêle – de sa fille dans la sienne, il était face à la mort. Il ne reconnaissait plus celle qui avait fait sa joie pendant quelques années. Tout avait été trop court et désespéramment, il essayait de rattraper tout ce qu'il avait manqué, n'ayant cure des délais, se foutant royalement de la bienséance. Sa fille, sa Victoria, était en train de mourir. Sur son crâne, plus un seul cheveu ne se trouvait. Son corps entier était relié à des tuyaux dont il avait perdu l'compte. Ses paupières s'ouvraient, se refermaient. Lentement. Liam aurait voulu bousculer le monde, le renverser, tabasser l'premier venu pour une seconde chance – pour que cette maladie qui rongeait le sang de son enfant soit donnée à quelqu'un d'autre. A lui, ou non, peu lui importait. Il aurait tout fait pour la sauver, mais ce n'était plus de sa responsabilité, cela ne l'avait jamais réellement été de toute façon. La leucémie gagnait du terrain, remportant alors la vie d'une douce concurrente. Liam ne l'acceptait pas. Depuis le début, il avait été focalisé sur les meilleures manières de sauver la vie de Victoria et l'échec n'avait jamais été envisagé. Jamais, pas une seule putain de seconde. Il était face à une réalité qu'il ne parvenait pas à assimiler, qui était beaucoup trop douloureuse pour être envisagée. Il haïssait viscéralement cet hôpital ; tout était trop blanc, aseptisé. Et sa fille était là, allongée et fatiguée. Et lui, impuissant, qui la regardait comme s'il ne l'avait jamais vue d'sa vie. « il faut que..il faut que j'aille t-travailler. Je reviens c-ce soir. » il ravalait ses larmes. Sois un adulte, putain, agis en homme. Mais il n'en avait plus rien à foutre d'être un homme, ou le fantôme de ce qu'il était – Victoria n'allait pas tarder à disparaître. Il n'était pas sot, il le constatait. Et s'il voulait s'effondrer, il ne laisserait aucune barrière sociale l'en empêcher. Il se mordit la lèvre inférieure, esquissa un sourire que sa fille lui rendit. Elle semblait en paix avec elle-même mais elle était jeune encore, elle n'était encore qu'une enfant un peu rêveuse et pas très aux faits avec les choses de la vie. Ils n'avaient pas parlé de ce qui lui arriverait de l'autre côté, ils n'avaient jamais évoqué le sujet. « je t'aime » elle ferma les yeux. « ne pars pas. » cette demande allait bien au-delà ce qui était en leur pouvoir ; mais peut-être que s'ils se battaient encore et encore, peut-être que s'ils levaient les boucliers en chœur, peut-être que - et il agissait égoïstement. Liam était conscient de la douleur de sa fille, de ce qu'elle devait ressentir à ce moment-là, de ce besoin qu'elle avait sans doute de faire taire ce tourbillon abominable dans lequel son corps avait été emporté. Il ferma les paupières. Peut-être que s'il imaginait que tout cela n'était qu'un rêve, peut-être qu'il gagnerait la guerre.

Annie laissa tomber un lourd dossier sur la table basse, puis brandit une clef USB sous le nez de son ami. L'expression faciale de Liam ne frémit guère. « Tu sais, quand je t'ai donné la clef d'chez moi, je pensais pas que tu- » « c'est pour t'aider » « -ferais irruption dès que l'occasi- » « c'est pour T'AIDER. » Annie n'élevait jamais la voix, c'était un truc chez elle. Elle était toujours pimpante, souriante, agréable. Quant à Liam, disons qu'il n'arrivait pas vraiment à se relever de sa dernière cuite qui datait de la veille. Il repensa à la bouteille de whisky vide qui trônait quelque part dans le garage. Il repensait à ce qu'il avait dit à sa gosse, à tous les mensonges qu'il avait préféré baver au lieu de lui faire prendre compte de la vérité. Elle était morte – et il n'arrivait plus à rien. Il n'avait plus aucune raison de vivre et jamais il n'avait pensé dire ça à son âge, mais il aurait préféré crever plutôt que d'avoir à subir tout ça. Les étapes du deuil. Une foutue connerie. Annie lui présenta la clef USB et le pressa à la prendre. Il la fit glisser entre ses doigts, épouser ses phalanges. Sa gueule de bois lui faisait prendre une vision inattendue de son entourage et des objets qui l'entouraient. C'était comme si – comme s'il vivait en dehors de son corps et n'était que spectateur de ce qu'il orchestrait. « y a un fichier PDF dessus, et un Powerpoint. J'y ai passé ma semaine, expliqua-t-elle, c'est un truc pour t'aider. C'est mon plan. » « ton plan ? » « mon plan pour t'aider. » Doucement, Liam reposa la clef sur le dossier et esquissa un sourire bref. « mais j'ai pas besoin d'aide, Annie. » son amie pinça ses lèvres, attendit quelques secondes avant de s’asseoir. « Alors, je présume que tout va bien ? » Liam acquiesça « Évidemment que tout va b- » et il repensa à tous ces soirs où il avait préféré la bouteille à la compagnie de ses proches. Il repensa à la bouteille de whisky dans le garage, oui, mais aussi à toutes les autres qui l'avaient précédée. Il repensa à tout ce qu'il essayait de refouler mais qui le submergeait inlassablement. Il repensa à sa fille. Il repensa à son visage, au son de sa voix – il se demandait parfois s'il l'oublierait un jour, cet éclat vocal - clair et cristallin - qui l'avait souvent rendu heureux. « non, ça va pas. » il l'avait lâchée, la bombe. You're not alright love.

UNKNOWN PLACE, NEVADA (JUNE 2016) ★ La chaleur le rendait tout étourdi. Et la gamine aux longs cheveux blonds tourbillonnait autour de lui, elle n'était que joie – foutue petite psychopathe, pensa-t-il alors. Et tout, absolument tout, le rendait suspicieux. Elle avait réussi à se jouer de lui, à lui faire croire avec ses quelques mots d'anglais qu'elle n'était qu'une gosse avec ses espoirs enfantins, et ses soucis bien futiles. Cela n'avait jamais été le cas, sans doute pas le moindre instant. Liam esquissa un sourire léger, tout en douceur « On va jouer à un jeu, Gretchen. » « Jeu. » répliqua-t-elle joyeusement. « Je compte jusqu'à dix, va te cacher. Ca-cher. » Il ferma les yeux. Un. Il l'entendit rire. Deux. Il se souvenait du camp dans lequel il l'avait vue pour la première fois. Elle faisait partie d'une petite famille, des polonais, dont les membres ne parlaient pas un traître mot d'anglais. Trois. Et un jour les rôdeurs avaient envahi le camp ; peu à peu, c'était parti d'une morsure et ça avait fini en guerre. Il l'avait vue, cette gamine, et il l'avait sauvée. Quatre. Ses paupières se rouvrirent, tandis qu'il continuait à compter. Il fit volte-face, et s'engouffra dans la forêt, s'éloignant un maximum de la rivière. Là où elle pourrait le trouver, et il ne voulait pas la revoir. Cinq. Ils avaient inventé leur propre langage. Et un jour, elle lui avait dit que les méchants américains avaient volé sa poupée, alors elle avait ouvert les portes du camp une fois la nuit tombée. Ils l'avaient mérité, avait-elle dit. Six. Alors tout avait tremblé, tout avait pris une tournure à laquelle il ne s'était jamais attendu. Il avait vu ce qu'il y avait de pire chez les gens, mais dans le cœur d'une petite fille qui aurait pu être sienne. Sept. Il accéléra l'allure, s'éloignant de l'endroit où il l'avait entendue se cacher, se courbant, s'étirant. Huit. Il commença à courir. Neuf. Il hurlait à présent. Dix. Il s'arrêta, ne regarda pas en arrière. Il contracta ses poings, ses ongles rongés s'enfonçant dans sa chair où des demi-lunes rougeâtres prirent position.

LAFAYETTE, LOUISIANA (MI-FEVRIER 2016) ★ Sam. Emmerdeuse de première, putain, il fallait la voir se mêler de ce qui ne la regardait pas. Elle en avait rien à foutre de ce qu'il ressentait de toute façon, elle qui avait voulu se jouer de lui des mois plus tôt ; alors où trouvait-elle son intérêt à venir vers lui ? Qu'aurait-elle à gagner à lui adresser la parole ? Liam aurait aimé l'imaginer pétrie de bonnes intentions, mais elle l'avait déjà pris au piège et la bague de fiançailles qu'elle avait gardée au doigt – pour il ne savait quelle raison, il n'avait pas encore eu l'audace de le demander – en était la preuve flagrante. Et pourtant – il avait été heureux d'la voir à Fallon, dans l'ancien camp fortifié dans lequel il avait élu résidence quelques mois plus tôt. Il avait eu envie de l'enlacer, de sentir son corps contre le sien, de se prouver à lui-même qu'il ne rêvait pas, que son imagination n'avait pas eu raison de sa vision. Il avait été odieux, évidemment, c'était bien tout ce qu'il pouvait se permettre. Il n'était plus capable de se mentir à lui-même, de vivre dans un monde chimérique où n'était que noir et blanc – il l'aimait Sam. Il l'aimait encore, sûrement autant qu'il essayait de la haïr. Elle l'avait ramené à la vie à un moment où il s'était cru mort, prêt à faire le grand saut, elle l'avait aidé à sa manière pour mieux le trahir par la suite. Et il avait tout essayé. Il avait baisé à s'en faire mal, il avait même épousé une actrice de seconde zone aux gros nibards – pour la larguer quelques semaines après – et tout ce à quoi il avait pensé, c'était Sam. Et il aurait voulu s'exploser la cervelle pour l'en faire se déloger, il aurait voulu être en paix avec tout ce qu'il avait vécu. Il en était incapable. A Fallon, elle l'avait sauvé en quelque sorte. Elle avait voulu l'arrêter, l'empêcher de s'en prendre à tous ceux qui l'entouraient et qui, avec l'aveuglement perpétué par l'alcool, représentaient un danger. Une menace. Il s'accrochait à Sam, restait à ses côtés, pensait à elle lorsqu'il préférait bouffer un tantinet d'indépendance. Mais il lui demandait si elle allait bien, si tout se passait correctement – dans la mesure du possible. Ils formaient un duo et ce, depuis qu'ils se connaissaient. Mais elle l'avait trahi, humilié. Il se demandait parfois s'il en faisait trop.
Mais il avait le droit d'en faire trop.
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MessageSujet: Re: (liam), don't let go.   (liam), don't let go. EmptyMer 1 Mar - 15:36

RECLAMATION :èé: :èé:
je ne suis pas d'accord avec cette pré-validation express :boude: :boude:
où est l'éthique? :hola:

avant je veux un temple ôde à notre amour cosmique,
et une statue à mon effigie et que ça saute :hihi: :hihi:
sinon je valide rien :colère:


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MessageSujet: Re: (liam), don't let go.   (liam), don't let go. EmptyMer 1 Mar - 15:39

chuuuut tu ne vois plus que ma beauté, pas l'éthique :vladimir:
ma beauté gueuse :vladimir:

vas-y je te donne absolument tout ce que tu veux :hihi:
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MessageSujet: Re: (liam), don't let go.   (liam), don't let go. EmptyMer 1 Mar - 15:46

tu tentes l'hypnose ou quoi? :mdr:
ça ne prends pas avec moi :boude: :boude:
d'ailleurs j'ai décidé de prévenir sur mes messages de bienvenue que je gérais le bureau des plaintes :hihi: :hihi:
je pars à la chasse à l'éthique :haha: Arrow

tout ce que je veux? :hola:
dangereux de dire ça :creep:
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MessageSujet: Re: (liam), don't let go.   (liam), don't let go. Empty

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(liam), don't let go.

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