The Day Will Come When You Won't Be nom : whittemore. nom d'un père que tu n'as jamais connu, ce que tu ne regrettes pas. prénom : jonas. mais tu te présentes sous le pseudonyme de jo. t'es pas fan du prénom que ta génitrice t'a choisi, même si la connaissant, ça aurait pu être bien pire. âge : vingt et un ans. malgré tes airs de gamin fragile et ton âge encore peu avancé, ta maturité n'a d'égale que ton sens des responsabilités, deux traits de caractère que tu as dû acquérir beaucoup trop tôt. ce qui n'est au final pas une si mauvaise chose, vu les temps dans lesquels tu te trouves. date et lieu de naissance : ta date de naissance n'est pas anodine puisque tu es né le jour de la fête nationale, le 4 juillet 1995 à bâton-rouge, où tu as passé presque toute ta vie. nationalité : in god we trust. purement américain. origines : ta mère t'a déjà raconté que certains de vos ancêtres étaient français, mais tu n'étais jamais sûr de ce que tu pouvais croire, ou non, avec elle.  en vérité, tu te fiches pas mal de savoir de quoi est fait ton sang.  tu viens de louisiane et c'est ce qui compte. situation civile : tu es en couple depuis plus de deux ans, maintenant, avec murphy. c'est une fille, tu précises car son prénom masculin peut créer le doute. ça fait maintenant presque huit mois que tu ne l'as plus vue, mais ça ne change rien pour toi. tu sais qu'elle est là quelque part et que tu vas la retrouver. orientation sexuelle : murphysexuel. hétérosexuel. t'avais de très bons potes mecs, mais ça n'a jamais été plus loin. ancien métier : tu n'étais encore qu'un étudiant. malgré toutes les merdes par lesquelles tu étais passé et l'absence totale d'une quelconque fierté maternelle, tu étais parvenu à mener tes études à bien. d'ailleurs, tu avais porté ton choix sur le social, sans doute pour éviter à d'autres gamins de vivre dans les conditions qui étaient les tiennes. ancien lieu d'habitation : bâton-rouge. comme dit précédemment, tu n'avais jamais bougé de ta ville avant toute cette histoire. voyager n'était pas dans tes moyens, déménager non plus. tu as vu un peu plus de pays, depuis l'épidémie. camp actuel : tu ne te trouves malheureusement dans aucun camp. ce n'est pas faute d'en avoir cherché pourtant, au contraire. depuis ta séparation d'avec les haynes et de murphy, tu as erré en recherche de lafayette. groupe : rock in the road. crédits : (eriam - avatar fiche).   just survive somehow. (001), la maladresse,  ça te connait. malgré un sens de la logique plutôt marqué, la distraction chez toi est bien présente. les erreurs d’inattention sont ton fardeau quotidien, bien qu'on t'ait déjà fait remarquer que tu étais plutôt intelligent. totalement contradictoire. (002), séries, films, musique, culture pop : toutes des choses dont tu te targues d'une connaissance presque parfaite, et qui te manquent aujourd'hui plus que de raison. tu ne connaîtras même pas la fin de game of thrones... (003), tu t'es toujours considéré comme un rémi sans famille, même si ton assistée de mère t'a toujours rappelé que ce n'était pas la vérité. pas de frère, pas de soeur, pas de père ou de cousin ne fût-ce qu'éloigné : c'était juste toi et celle qui se piquait les veines à longueur de temps. ça t'étonne même que tu ne sois pas né avec une maladie liée à ses activités. néanmoins, elle restait ta mère, et tu t'es toujours occupé d'elle comme il se devait. tu dois tout de même reconnaître que tu n'es pas mécontent de sa disparition... (004), tu as toujours un sourire aux lèvres, jonas. tu ne sais même pas comment tu fais.  ça te vient sûrement de la petite enfance, quand tu souriais toujours à la maternelle pour qu'on ne se pose pas de question sur ta situation familiale. tu as appris que si tu souriais, personne ne te posait de questions, et c'était bien mieux ainsi. encore maintenant, ton visage, bien que marqué par les épreuves, reste accueillant, et tu te dis qu'il n'est pas impossible de venir à bout de cette misère qui vous entoure. tu ne perds pas espoir, bien que cela soit de plus en plus dur à chaque jour qui passe. (005), les filles, ça te connaissait, mais y en a qu'une à qui tu as véritablement ouvert ton coeur. murphy. dans votre cas, tu ne sais pas si c'est plutôt "les contraires s'attirent" ou "qui se ressemble, s'assemble". En surface, vous êtes tous les deux plutôt différents : elle, d'une famille aimante, qui n'aime pourtant personne, qui est végétarienne et qui se débrouille bien avec un arc.  toi, seul au monde, qui lui sourit pourtant, qui se rend au mcdo trois fois par semaine et qui s'est coupé la première fois qu'il a tenté de se servir de son arme contre un marcheur. quand on creuse, cependant, on comprend pourquoi vous vous plaisez. vous détestez voir les autres maltraités, vous ouvrez un peu trop vos bouches au moment le moins opportun, et pourtant vous êtes de grands gamins dans l'âme. c'est la seule personne qui t'ai totalement compris dans la vie, la seule que tu aies réellement aimée, tu sais que vos destins étaient faits pour être liés et c'est pour cela que tu n'abandonnes pas ton chemin qui te mènera jusqu'à elle. (006), il y a quelques années, tu as recueilli un chiot que tu avais trouvé en mauvais point. tu as pris soin de lui jusqu'à ce qu'il aille mieux, ce qui a créé entre vous un lien indéfectible. c'est un border collie que tu as nommé lucky, pour sa chance. quand l'épidémie s'est répandue et que tu as du partir avec les haynes, ce fût sans lui. cependant, et tu ne sais pas comment, il a retrouvé ton chemin. il est plus indépendant maintenant, et vous vous perdez de vue pendant de longs moments avant de vous retrouver. tu espères toujours que rien ne lui arrivera, car les chiens ne sont pas non plus à l'abri. (007), tu avais pris un rendez-vous chez l'ophtalmo, rendez-vous auquel tu n'as jamais pu assister puisqu'il était établi en 2016. tu as besoin de lunettes, fait malheureusement indéniable. tu as du mal à distinguer, de loin, si ce sont des amis ou des ennemis qui s'approchent de toi, ce qui peut s'avérer plutôt fatal. du coup, tu essayes toutes les lunettes sur lesquelles tu tombes depuis plus d'un an. (008), s'il y a bien un vice que l'on peut te reprocher, c'est ton penchant un peu trop prononcé pour les cigarettes. peu importe la marque, t'es pas difficile. on te voyait presque toujours avec une clope au bec, même si tu savais pertinemment que tu ne montrais pas le bon exemple. malgré toi, tu as du ralentir de ce côté-là, et bon dieu que ce fût difficile. il y a peu de temps, tu as trouvé plusieurs cartouches encore pleine et tu as bourré ton sac à dos de cette trouvaille. néanmoins, tu ne les fumes pas, ou que très rarement. tu les gardes pour d'autres occasions. tu sais aussi que certaines personnes vendraient père et mère pour une simple taffe. alors elles peuvent t'être utiles. (009), jaloux, possessif... bon, tu as peut-être plus de défauts que tu ne le laisses paraître. c'est plus fort que toi, tu ne supportes pas de devoir partager ceux qui te sont proches. c'est d'ailleurs une question qui te taraude depuis des mois : est-ce que murph t'attend, ou est-ce qu'elle est passée à autre chose avec un autre ? (010), tu restes quelqu'un de protecteur, quelqu'un qui se destinait à aider les autres et dont les plans n'ont pas changé malgré la situation actuelle. tu essayes toujours d'aider ton prochain, même si cela a pu te mettre dans des situations délicates. tu essayes toujours de voir le meilleur chez autrui, c'est trop tard pour que tu changes maintenant.

âge : bientôt 24 ans.    fuseau horaire : belgique.    fréquence de connexion : everyday !    où avez vous connu le forum : c'est des rousses qui m'en ont parlé. avis & suggestions : très beau et simple de compréhension ! je regarde pas twd mais je pense que j'arriverai à m'en sortir quand même, avec les annexes itou. votre mot de la fin : les zombies c nul.

décembre 2006 « c'est ici qu'on va vivre maintenant. alors pas de grabuge. » c'est la seule chose que ta mère te dit alors qu'elle se laisse tomber lourdement contre une banquette du mobile home, l'air las. les fêtes de fin d'année approchent, et elle n'avait même pas pris la peine de te prévenir de ce déménagement au préalable. joyeux noël, jonas. maman t'offre une pharyngite cette année. parce que ouais, tu doutes qu'elle ait de quoi payer le chauffage avant un moment. encore jusqu'à la veille, vous viviez dans une maison. une baraque miteuse et remplie d'argent sale, mais au moins t'avais ta chambre et ta tranquillité. c'était pas le luxe, mais c'était toujours mieux qu'ici. dire que t'avais pensé que vous ne pouviez pas tomber plus bas. tu t'étais trompé. ta mère vivait avec son dealer depuis plusieurs années maintenant, il devait s'être lassé de ta junkie de maman qui ne savait pas s'assumer et vous avait jarté sans arrière pensée. tu t'en fiches, tu n'as même pas envie de lui demander ce qu'il s'est passé. tu pars à la découverte de vos vingt m² habitables et dégote une couverture que tu déposes sur ta mère assoupie. c'est que tu serais encore plus dans la merde, si tu venais à la perdre. juin 2011 « et tu vas où, comme ça ? » les mots sont prononcés d'une voix pâteuse, qui t'hérisse le poil. elle est encore dans sa phase lunaire où tout ce qu'il se passe ne l'atteint pas. « travailler. je te l'ai déjà dit vingt fois. ça fait un mois que je bosse au amc. et je suis en retard », tu ajoutes, passant la veste de travail du cinéma sur tes épaules. vu son regard éteint, tu devras sûrement lui répéter une vingt et unième fois, mais pas maintenant. tu prends tes affaires et tu t'en vas, contrairement à elle tu essayes d'être un minimum ponctuel. elle te demande de lui rapporter quelque chose, probablement des cigarettes, ce à quoi tu réponds par un claquement de porte. si elle s'était limitée à ça, tu lui en aurais rapporté avec plaisir. mais c'est pas le cas. tu fourres tes écouteurs dans tes oreilles et enfourches ta bicyclette pour te rendre au travail. tout ce que t'as, même si c'est de seconde main, tu le dois parce que t'as bossé dur, de petits travail à gauche et à droite. pas grâce à elle. mais elle n'a pas l'air de s'en rendre compte. tu t'en fiches, tu continues sur ta lancée. tu n'as pas besoin d'être félicité. tu espères juste un jour être récompensé par la vie de ton labeur, et c'est tout. tu bosses dur en classe, aussi. c'est pas toujours facile d'assimiler toutes tes activités, mais tu fais de ton mieux. peut-être qu'un jour, tu pourras la placer dans un centre, pour qu'elle se reprenne en main ou quelque chose du genre. tu ne sais pas trop. et tu n'as pas vraiment le temps d'y penser maintenant. mai 2012 le soleil tape de ses rayons lourds à cette période de l'année. toi, jonas, tu marches à l'ombre, buvant de l'eau tandis que tu rentres chez toi à pas pesants. tu as hâte de te poser et de ne plus bouger. sauf qu'un bruit attire ton attention. c'est pas fort, presque discret, mais distinctement une plainte.  tu en cherches l'origine avant de la dénicher. il s'agit d'une boule de poils noir et blanche, toute maigrichonne. un chiot. tu ôtes le bouchon de ta bouteille pour lui faire boire un peu d'eau au creux de tes mains. puis tu regardes de tous côtés. il a vraiment l'air abandonné. tu ne vas pas le laisser là tout seul, tout de même. alors, tu l'emportes avec toi, sans savoir que tu venais de te faire un compagnon pour la vie. juillet 2014 enfin. enfin tes putains d'efforts sont récompensés. tu relis la lettre plusieurs fois, comme si tu n'y croyais pas. plus qu'un an à tirer dans ce foutu lycée et tu pourrais entrer à l'université. ta bourse avait été accordée. septembre 2015 tu es allongé, murphy, ta petite amie, à tes côtés. tu observes tes doigts se mêler aux siens alors que tout semble paisible à l'entour de vous. vous parlez de l'avenir, ouais, ça vous arrive. tu vas rentrer à l'université dans quelques jours, alors qu'elle doit encore tirer un an au bahut avant de faire de même. tu la rassures, tu ne pars pas loin, tu restes à bâton-rouge. vous continuerez à vous voir presque quotidiennement. elle n'a pas l'air très convaincu. tu la dérides avec quelques baisers. tu lui glisses que rien ne vous séparera.


février 2016 tu as quitté bâton-rouge depuis un moment maintenant. rien ne t'y retient. ta mère a quitté ce monde presqu'à l'aube de l'épidémie. à part murphy et ses frères, tu n'as personne. alors tu n'as pas hésité à partir avec eux lorsque l'occasion s'est présentée. vous échappez aux rôdeurs tout en essayant de survivre. ce qui n'est pas tous les jours faciles. les obstacles se dressent devant vous, plus durs les uns que les autres. jusqu'à l'insurmontable. la mort d'un des frères de murphy. achevé par l'aîné, pour qu'il ne se transforme pas en rôdeur. ce qu'elle ne supporte pas. elle veut partir, s'éloigner de tout ça, aller à lake charles. et toi, tu l'aurais suivi n'importe où. après tout, c'est elle ta famille.

01 juillet 2016 tes lèvres se séparent de celles de murphy, mettant fin à un baiser qui a bien trop le goût des adieux. vous n’avez pas le temps d’y penser cependant, et elle se met à courir dans la direction opposée à toi, entrainant à sa suite une partie de la horde qui vous traque. tu n’as même pas l’occasion de lui lancer un dernier regard, toi-même trop occupé à t’enfuir pour vous octroyer plus de chance de survivre. tu la retrouveras, il n’y a pas une once de doute en toi. mais d’abord, il faut se débarrasser de ces morts qui veulent festoyer sur ta cervelle. tu cours sans trop savoir où aller, avant de te rendre compte que tes pas te mènent à ta perte. en face de toi, d’autres rodeurs se dressent de leurs postures cagneuses. tu vas finir par te faire encercler. tu fais volte-face, prêt à affronter ceux qui te coursaient en premier, tu aviserais les autres plus tard. lâchant un cri pour te donner du courage, tu te rues sur tes prédateurs en les assainant de coups de clé anglaise. un outil que tu as trouvé dans le dernier endroit où vous avez dormi et qui t’es plutôt bien utile. les bouts de crâne volent les uns après les autres, cependant tu sens que cela ne sera pas suffisant. les autres arrivent à ta hauteur et signent ta fin. tu sens quelque chose t’attraper à la cheville et tu glisses, ton crâne s’écrasant durement contre le sol. ta dernière pensée est pour murphy, tu espères qu’elle s’en est tirée, puis tu sombres sans pouvoir rien y faire. tu auras probablement rejoint la horde à ton réveil.

03 juillet 2016 ou pas.

tes paupières papillonent et les rayons du soleil te font plisser tes yeux encore engourdis. tu agites les doigts avant de les porter à une énorme bosse sur ton front. tu ne pensais pas qu’être mort pouvait encore faire aussi mal. ni que tes idées seraient encore aussi claires. ton estomac gargouille, mais ce n’est pas un appel cannibal qu’il lance. tu aurais plutôt envie de bons œufs brouillés. tu grognes, te redresses. regardes autour de toi. tu te trouves dans une sorte de tente de fortune. tu remarques seulement maintenant que ta tête est enserrée dans un bandage et qu’une bouteille d’eau se dresse à tes côtés. tu ne la prends pas, ignorant la soif qui tiraille ta gorge. on ne sait jamais. avec peine, tu sors de la toile tirée, le soleil t’aveuglant encore plus. ta sortie est accueillie d’un « v’là qu’la belle au bois dormant est réveillée »  et tu ne reconnais aucune des paires d’yeux curieuses qui sont fixées sur toi. quelqu’un vient te saluer, avant de te raconter qu’ils t’ont trouvé aux prises avec des rodeurs et t’ont tiré d’affaire après que tu sois tombé, cela va faire deux jours maintenant. deux jours ? et tu ne sais même pas où tu te trouves. tu espères que murph est quelque part en sécurité. tu leur parles de lafayette, leur demandes comment t’y rendre. ils te répondent qu’ils y vont aussi, que vous pourriez y aller ensemble. tu souris et les remercies. après tout, ils t’ont sauvé la vie.

05 juillet 2016 tu te demandes bien pourquoi.

cela fait plusieurs jours que tu traînes avec cette petite bande qui te semble de plus en plus étrange à mesure que tu les fréquentes. tu ne saurais dire pourquoi, un quelque chose dans leur attitude. enfin, vu tout ce qui se passe pour le moment, est-ce qu’on peut encore trouver les gens normaux ? vous changez de camp tous les jours, tu ne reconnais aucun des coins dans lesquels vous vous arrêtez, au point que tu te demandes si vous allez dans la bonne direction. mais pourquoi t’auraient-ils menti ? vous continuez votre chemin, jusqu’à rencontrer deux autres voyageurs un soir. et là, c'est le drame. ils sont plusieurs à se diriger vers les endormis, sans que tu te soucies de rien, ils n'avaient fait aucun geste envers toi qui pouvait te préparer à ça. sans même prendre la peine de le réveiller, ils en tuent un, tandis que le second parvient à leur échapper tu ne sais pas comment. tu es encore bien trop abasourdi par ce qu'il vient de se passer. et même si tu as envie de te révolter, de leur dire un truc, tu sens que tu ne peux pas. ils te traiteraient de la même façon. te tueraient. alors, tu attends que la nuit tombe, et tu les désertes. sans oublier de leur laisser un petit cadeau. la gorge tranchée de leur chef au petit-déjeuner. 

octobre 2016 cela fait maintenant plusieurs mois que tu erres, à la recherche de murphy, de ce foutu camp lafayette. tu dois être le seul hurluberlu à ne pas l'avoir encore trouvé. tu ne désespères pas, cependant. tu passes d'un endroit à un autre, tu rencontres des personnes qui font partie de ta route pour quelques jours, voire quelques semaines, jamais plus. tu fais attention aux personnes que tu fréquentes, désormais, et tu décides de ne pas trop rester avec elles pour ne pas que l'incident de la dernière fois se réitère. ça t'a rendu malade, par la suite, mais c'était la chose à faire. certaines des personnes sur ton chemin te regardnt bizarrement quand tu leur annoncs ta destination. lafayette ? c'est un camp de fous, une mini dictature, qu'ils disent. et tu te diriges en direction totalement opposée. tu ne sais pas trop quoi penser du camp, sans l'avoir vu par toi-même. tu rebrousses donc chemin, jusqu'à ce que la malchance te lance à nouveau une merde sur ta route. une énorme averse te déferle dessus alors que tu n'as pas encore d'abri pour la nuit et, dans la précipitation d'en trouver un, tu dérapes sur un taillis dans un craquement sonore.

février 2017 tu as rencontré michelle depuis quelques jours, dans un état pas meilleur que le tien. ce n'est qu'une gamine égarée et inoffensive, alors tu as décidé de rester avec elle, cette fois. il t'a fallut pas mal de temps pour te remettre de ta chute qui t'a cassé la jambe et t'a laissé avec un boitement que tu n'arrives pas à faire partir. tu l'as échappé belle à plusieurs reprises de finir dans les mains des rôdeurs. alors, être à deux pourrait être mieux qu'être tout seul. c'est ce que tu penses avant que vous ne tombiez une nouvelle fois sur une horde. malgré ta jambe, tu as pris l'habitude de ces attaques, et les coups partent tout seuls pour régler leur compte à ceux qui veulent vous régler le votre. la gamine, elle, n'a pas cette chance. elle se fait mordre sans que tu puisses intervenir, fracassant le crâne de son agresseur trop tard. elle est là, en train de pleurer, sachant pertinemment quelle fin l'attend. et elle te demande l'impossible. elle te demande de l'achever. tu peux pas. tu ne peux juste pas. après ce qu'il s'est passé avec l'homme, au camp, tu ne t'en sens pas capable. tuer des vivants n'a rien à voir avec venir à bout de ceux qui sont déjà morts. tu finis par la laisser là, sans pouvoir l'aider. elle hurle ton prénom d'un ton réprobateur alors que tu t'éloignes pour ne plus l'entendre.

mars 2017 tu arrives finalement à lafayette, dans un état peu reluisant, mais vivant.

Hohoho, tu viens d'être validé(e) jeune sauterelle des îles, mais avant de passer aux hostilités, laisse-moi te dire une chose ou deux : maintenant que tu es à Lafayette, tu vas le trouver ce camp et tu trouveras Murphy et tout le monde sera content pas possible de faire autrement .

Maintenant, laisse-nous t'abreuver avec ce tumblr de folie où tu retrouveras des gifs très très drôles (attention aux spoilers). Si ce n'est pas déjà fait, va jeter un coup d'oeil dans le bottin des avatars afin de vérifier si on ne t'a pas oublié au passage, puis tu pourras aller recenser ton rôle et ton habitation si ton personnage vit à Lafayette. Et pour que ton intégration se passe bien, va te créer une fiche de liens et, si l'envie t'en prend, une chronologie. Tu vas pouvoir également te renseigner sur la gestion de tes points et participer à un rp mission. Si tu veux, tu peux aussi aller créer un scénario ou des pré-liens afin d'aider de futurs intéressés dans la construction de leur personnage. Mais puisqu'un forum est là aussi pour te distraire un max, viens nous rejoindre dans le merveilleux flood et supporte-nous dans la promotion du forum (on te le rendra bien, avec un max de bisous et de love).

voilà, maintenant que tu es validé(e), tu peux venir faire la fête avec nous et n'oublie pas que les admins sont à ta disposition 24h/24 (et même 38h/24 si des offrandes sont faites). amuse-toi bien parmi nous.