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 tomorrow we'll rise so we fight today (ft. Hannibal & Berekia)

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Anonymous
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MessageSujet: tomorrow we'll rise so we fight today (ft. Hannibal & Berekia)   tomorrow we'll rise so we fight today (ft. Hannibal & Berekia) EmptyVen 2 Juin - 18:02


tomorrow we'll rise so we fight today
Hannibal Koenig, Berekia Dubhghaill & Irvin Bennett
Il était de sortie. Une sortie somme toute illégale puisque les règles de Lafayette pouvaient être assimilées à un régime totalitaire. Cela faisait un moment qu’Irvin n’avait plus cours, mais il savait encore ce qu’était un putain de régime totalitaire et à bien des égards, Lafayette en était proche. Contrôle et confinement de la population, interdictions nombreuses, peine de prison, de mort et de renvoi sur simple suspicion de manquement aux règles, pas de tribunal… Et quand bien même, si tribunal il y avait eu, ce serait facile de comprendre que le conseil en tirait les ficelles. Lafayette n’était plus une démocratie certes, c’était devenu une oligarchie durant au moment avant de définitivement sombrer dans le totalitarisme. Les connards du conseil avaient mis sa mère à la porte uniquement parce qu’elle possédait une arme non répertoriée… Avoir cette arme lui avait sauvé la vie durant l’une des attaques de Lafayette… Irvin n’était pas spécialement pour le second amendement, mais dans les conditions actuelles, avoir de quoi se défendre était nécessaire. Le jeune homme n’avait donc pas d’arme à feu lorsqu’il sortait par la brèche en secret. Il se contentait de son couteau de chasse, arme qu’il avait trouvée au début de l’apocalypse dans un magasin de chasse et pêche. C’était mieux que rien. Au moins, ça permettait de trouer la tête des morts-vivants sans peiner. Évidemment une arme à feu aurait été une sécurité supplémentaire, mais le conseil n’était pas d’avis à laisser les gens avoir de quoi se protéger. Soi-disant la milice était là pour ça…

Le brun avait donc abandonné les lieux. Pas pour toujours. Il aurait aimé partir définitivement. Mais laisser Kennedy derrière, c’était hors de question. C’était elle qui l’avait retenu lorsqu’il avait voulu partir. Il avait encore l’espoir secret qu’un jour elle puisse l’aimer. Ce n’était clairement pas la priorité dans le contexte actuel. Mais il ne pouvait pas faire taire ses sentiments pour la brune aussi facilement. Depuis cinq ans, il était amoureux d’elle. Il s’était laissé distraire par ses pensées d’idiot amoureux alors qu’il fouillait un bâtiment assez vieux et n’avait pas entendu le sol craquer sous ses pieds. Il s’était retrouvé à l’étage inférieur dans un brouhaha immanquable. Sa jambe droite et son postérieur avaient pris un sacré coup. Rien de cassé, la chute avait été amortie par de vieux matelas posés à même le sol. Vu l’odeur qui régnait dans cette pièce où les bureaux avaient été repoussé vers les murs, ça avait été un squatte. Irvin releva la tête entendant un râle. Ceux qui avaient squatté ici étaient morts, mais malheureusement pour, ils ne s’étaient pas contenté de le resté. Une dizaine de zombies… c’était trop pour lui tout seul. Il se précipita en boitant légèrement vers la porte mais elle-ci était verrouillée. Et merde, ses connards de squatteurs s’étaient enfermés ici… Ce qui signifiait qu’un des zombies devait avoir la clé sur lui, ses chances de survie étaient de dix pourcents. Il planta un rôder sur son chemin pour aller se planquer derrière un bureau, il restait neuf zombies, pas de sortie et ils le sentaient, il ne pouvait pas de se contenter de se cacher… Il triturait son cerveau à la recherche d’une solution lorsqu’il entendit des voix dans la pièce au-dessus, celle dont une partie du sol s’était écroulé… Il n’avait pas d’autre choix que de tenter sa chance avec les vivants… Il sortit de sa cachette pour aller se réfugier vers un autre bureau où il pourrait avoir les vivants en visuel. « Hey ! Ici ! J’ai besoin d’aide. » Lâcha-t-il avant de planter son couteau dans le crâne du zombie qui s’approchait du bureau. Plus que huit… et ils se dirigeaient vers lui. Bordel, pourvu que ces deux mecs descendent l’aider… ou qu’ils aient des armes à feu pour trucider les morts vivants ou peu importe, il ne voulait pas crever ici.
mai 2017
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Anonymous
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MessageSujet: Re: tomorrow we'll rise so we fight today (ft. Hannibal & Berekia)   tomorrow we'll rise so we fight today (ft. Hannibal & Berekia) EmptySam 3 Juin - 22:14

Tomorrow we'll rise
so we fight today
Irvin ✧ Berekia ✧ Hannibal
Les expéditions en compagnie de Berekia étaient toujours un peu particulières. En fait, vivre et voyager avec lui était toujours spécial. Mais quand il était question de ravitaillement ou de repérage, Hannibal avait surtout l'impression d'emmener un gosse en balade. En tout cas, le niveau d'attention requis était identique. Et si son compagnon avait autant de chance de se casser la gueule qu'il y avait de rôdeurs dans les rues, le blond devait aussi s'assurer qu'il ne touche pas à tout, qu'il ne s'éloigne pas trop. Un vrai gamin quoi. En vérité, et même si il avait l'air agacé par celui-ci, il tenait au brun. Peut-être plus qu'il ne le prétendait et veillait plus sur lui que sur sa propre personne. Mais bon. Comme les enfants, faut les faire sortir régulièrement et les occuper un peu. Le couple n'avait pas exactement défini ce qu'ils cherchaient aujourd'hui ; leur situation se trouvant être plutôt bonne depuis que Berekia avait trouvé un entrepôt plein de nourriture. Hannibal en venait encore à se demander comment il y était parvenu, l'exploit était notable. Leur confort aurait pu être amélioré mais en deux ans d'apocalypse, les deux avaient vu pire. Ils vivaient de peu, mais tant que la nourriture ne manquait pas, personne ne s'inquiétait. Ils évitaient toujours les survivants, et encore plus la ville fortifiée. Soulagé du poids d'un quelconque gouvernement et des obligations d'une vie en communauté, l'allemand n'avait même pas envisagé de s'y rendre. Et il était presque certain qu'il en allait de même pour Berekia. L'endroit serait peut-être une solution de repli, un jour, mais l'homme préférait ne pas y penser. Leur duo fonctionnait très bien et il n'y avait pas de raison que ça change.

Ils avaient repéré un vieux bâtiment, rien de bien fameux ; ils l'avaient même ignoré jusqu'à présent. Mais il y avait aussi des chances d'y trouver quelques petites choses qui s’avéreraient utiles, la probabilité qu'un ancien groupe ait pu y élire domicile aidant à prendre la décision de visiter cet endroit. L'autre faisait encore chier avec son vieux shampoing à la con. Bah ouais, c'était pas l'endroit idéal pour en trouver. Le problème du shampoing revenait d'ailleurs bien trop souvent aux yeux du survivant, son attention plutôt posée sur des munitions ou des piles. Hannibal avait prit soin d'étaler du sang de rôdeur sur la bouille délicate de son amant, simple précaution qu'il prenait toujours. Il l'avait laissé en faire de même, ne serait-ce que pour éviter qu'il fasse la trogne pour le reste de la journée. La rue était déserte et ils avaient prit garde de ne pas attirer l'attention que ce soit celle des morts ou des vivants. Les deux étaient aussi dangereux. Comme à chaque fois qu'un nouveau lieu était visité, c'est Hannibal qui prit les devants. Frappant à la porte pour attirer les morts qui se seraient cachés là. Les ouvrant ensuite, prêt à recevoir et à achever ceux-ci. Aucun cadavre de ne s'était présenté à eux. Si il y avait une présence dans ce bâtiment, alors ce serait un autre survivant. L'allemand dégaina son arme à feu, encore une fois par simple précaution. Puis son regard se posa sur le brun. Qui faisait la tronche. Super. Il leva les yeux au ciel, laissant échapper un long soupir. « J'te promets, si tu fais la gueule pour ton shampoing, j'irai jamais t'en chercher. » Sur ces mots, il commença son exploration, intimant à Berekia de suivre. « J'suis certain que t'es le seul survivant sur cette putain de planète à t'inquièter pour du shampoing. Du putain de shampoing. Tu te rends compte, hein ? » Bien sûr que non qu'il s'en rendait pas compte. Il le connaissait déjà bien assez pour le savoir. Il espérait parfois que l'homme qu'il aimait n'était pas totalement un cas désespéré. « Viens plutôt m'aider à- » Une voix s'était élevée, le coupant net. Parce qu'il avait plus était occupé à râler sur l'irlandais et sa lubie pour le shampoing, Hannibal avait cessé de rester attentif à ce qu'il se passait autour. Retenant un juron, il jeta quand même un œil dans la pièce qu'ils s'apprêtaient à visiter, remarquant au passage le trou béant d'où la voix était sortie. Une chose était sûre, il y avait du mouvement en bas et mort ou vivant, il aimait pas ça. La jointure de ses doigts blanchit alors que sa prise sur l'arme se réaffirmait. « On se tire. » Il souffla ces trois mots à l'autre homme, la voix ferme, ne voulant lui laisser l'occasion de protester. Ils auraient pu apporter leur aide, mais ça aurait impliqué de gaspiller des balles pour un inconnu. Des balles qui pourrait être utiles par la suite. La décision n'avait même pas besoin d'être réfléchie. Et pourtant.. Hannibal fronça les sourcils, tandis que Berekia ne bougea pas en direction de la sortie. Il avait visiblement une idée foireuse en tête et l'allemand n'aimait pas vraiment ça. Genre pas du tout même.  
© Starseed
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