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 l'enfer c'est les autres. (sam)

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MessageSujet: l'enfer c'est les autres. (sam)   l'enfer c'est les autres. (sam) EmptyMer 22 Fév - 19:40

Samantha cassandre wheeler
I'M A STRUGGLING MAN
AND I'VE GOT TO MOVE ON
The Day Will Come When You Won't Be
nom : Wheeler, nom d'adoption, identité obsolète pour un monde qui ne s'en soucis plus. Origines et traces d'un passé oublié, d'une famille décomposée dont il ne reste que de vaines promesses, souvenirs d'une vie oubliée. prénom : De ton premier prénom Samantha trop long, trop classique, trop barbant. Samantha c'était la fille de son père, la petite princesse de la fratrie, la BCBG capricieuse. Samantha c'est le visage angélique que tu présentais pour plaire, cachant l'ado casse-pied qui faisait le mur et rentrait à l'aube en espérant que ses frères aient eu le bon sens de la couvrir. Et ton regard séraphique camoufle tes pires déboires à l'insu des biens aimés. Un prénom ne peut pas porter malheur. Coïncidence. Suprême hasard. Et pourtant il fallut que tes parents te nomment également Cassandre, prénom maudit à l'histoire tâché de sang, douce fatalité qui t'arrache les tympans. Tel le serpent il ensorcelle, il charme pour mieux étouffer et faire sien. Il est à ton image, une tendresse exquise qu'on regrette aussitôt après avoir cédé. Cassandre la femme aux vérités qui ne sont jamais bonnes à dire. Celle qui fut rejetée, malmenée, punie. Elle tenait le destin des hommes entre ses mains et ne put empêcher la chute. Elle manipula pour obtenir et paya sa traîtrise, briser le cœur d'un dieu n'est pas sans conséquences. Toi-même tu casses sur ton passage, sans le vouloir, sans le savoir. Et le destin t'a jugé coupable pour tes crimes, tu payes ton égoïsme comme Cassandre paya pour ses fautes. âge : vingt-sept années éphémères dans un futur brouillé, incertitudes au bout de la langue et passé qui pèse lourd dans le cœur. date et lieu de naissance : en octobre 1989 à Boston dans le Massachusetts, tes parents ont traversé le pays pour venir te chercher et te ramener chez eux à Austin, Texas. nationalité : américaine, t'es née ici et t'as jamais rien connu d'autre que les USA, peu importe dorénavant tu ne bougeras plus d'ici, les voyages se limitent à la survie et la grande aventure s'est transformée en cauchemar. origines : françaises selon tes parents, un sang d’Écosse s'y mêle mais ne t'appartient pas, enfant adoptée tu ne connais rien de ce qui a été et aujourd'hui ça n'a plus la moindre importance. situation civile : Seule, t'as fait de l'amour ton fond de commerce et aujourd'hui tu ne sais même plus comment t'y prendre. Amoureuse à temps-plein. En couple à temps-partiel. T'as été mariée trois fois, sous les noms de Rachel Woods, Dolores Hamilton et Anna Miller. Une seule alliance parmi tous ces diamants a réellement compté. Tu voulais oublier ces hommes de passage qui ne t'avaient pas regardé ou mal, ces aventures au goût amer, ces rejets que tu camouflais sous un masque de petit soldat fier. Parfois si fragile, si chancelante, sans point d'encrage, jouant des rôles dans lesquels tu te perdais. Petite fille tremblante ou séductrice chevronnée. Pour lui tu voulais changer et faire la paix avec toi-même, abandonner tes masques et tes peurs. Ta dérive éperdue, prête à te donner au premier venu pour lui prendre tout ce qu'il avait à donner. En quête d'un regard qui te reconstruirait. Parfois tu croyais qu'il était ce regard. Qu'il te reconstruisait. Et puis t'as cligné les yeux. Et il a disparu. Faut pas cligner des yeux, c'est dangereux, tout s'évapore en un éclair. Alors aujourd'hui volage, avec un petit "v" mais de grandes envolées. Tu te contente de goûter à quelques friandises de temps à autre, mais tu respectes les doses d'amour homéopathiques que tu t'es fixée. Tu te prends les pieds dans tes émotions. Désirant le seul être que tu ne peux avoir. La frustration te tort le cœur et le corps dès que tu croises son regard. ancien métier : mauvaises fréquentations, mauvais amours, mauvaise pente. En te cherchant tu t'es perdue sur le chemin de l'escroquerie et les petites magouilles entre amis sont devenus de véritables fraudes haïssables. Tu utilisais ton charme pour vivre dans l'avant, tu l'as utilisé pour survivre dans l'après. Séduisant des hommes fortunés et rongés par la solitude, proies faciles que tu dépouillais pour avoir ce que tu ne possédais pas. De l'amour liquide pas à crédit. Des noces bien sombres pour un ange meurtri. ancien lieu d'habitation :  tu vagabondais ici et là, toujours sur la route. T'étais dans le provisoire. La fuite. Finalement ça a toujours été ton style de vie, tu évitais les flics et la fureur de tes ex-amants. Aujourd'hui tu fuis les morts en plus des vivants. Les derniers mois avant l'état d'urgence déclarée tu vivais à L-A avec ton fiancé de l'époque. Quand il t'a quitté tu t'es dit qu'il était temps de rentrer chez toi à Austin, point de chute qui t'a ramené auprès de ta famille juste à temps. Pour trop peu de temps. camp actuel : c'est à Lafayette que tu as trouvé refuge il y a quelques semaines après avoir été virée sans ménagement de Fallon ton ancien camps dans le Nevada. groupe : not fade away jveux être jaune poussinnn. crédits : smoaks.  

just survive somehow.

(001), Tu restes loyale, avant ou après, tu n'as jamais été du genre à planter un couteau dans le dos de quelqu'un qui t'est cher, si tu as moins de scrupules avec le commun des mortels tu ne trahis par contre jamais ceux qui te sont proches. (002), Tu es passionnée, ou du moins tu l'étais. Tout ou rien mais rien à moitié alors il faut foncer, tête en bas, pieds au plafond. Quand tu entreprends quelque chose tu vas jusqu'au bout, peu importe les objections ou les obstacles. (003), Tu es fonceuse tu ne crains pas de retrousser tes manches et partir en expédition, tu as tendance à te jeter dans la gueule du loup si au final tu peux en tirer quelque chose. Miser gros pour gagner gros. Tu n'es pas de celles qui se défilent, pas de celles qui renoncent. La prudence, la sécurité, à tes yeux il y avait quelque chose de très ennuyant dans le « connu », le « quotidien » le « familier ». Aujourd'hui t'as conscience que c'est devenu un luxe pour lequel tout le monde prie. Même toi. Il te fallait toujours plus de bruits, de nouveautés, de rencontres. En réalité tu es une vraie tête brûlée et le fait que tu souffres d'insensibilité congénitale à la douleur n'arrange rien et y est même pour beaucoup, tu te mets souvent dans les pires situations te prenant pour une sorte d'héroïne dont le super pouvoir serait de ne rien ressentir. Inconsciente comme tu es tu attires les ennuis comme la lumière attire les papillons de nuit. Peut-être que t'as aussi une certaine poisse?  Ne rien ressentir ne signifie pas ne jamais être blessée. Bien au contraire. Ce que tu as toujours perçu comme un super pouvoir et en réalité une putain de malédiction. La douleur est vitale. C'est elle qui envoie la décharge, ce signal qui vous dit attention, risque imminent, arrêt immédiat. C'est elle que tu as oublié et qui a coûté la vie de ton aîné Chris. T'as poussé, encore, encore trop et tu as chuté, il est resté derrière pour couvrir vos arrières. Pour retenir les rôdeurs. Pour vous offrir une chance. Tu l'entends encore vous hurler de filer, qu'il vous rejoindra. Il ne vous a jamais rejoint et tu ne te le pardonnes pas. A présent la moindre ecchymose te panique, rappel à la réalité. Ta maladie est dangereuse, elle t'a coûté une cicatrice du cœur, amouragie qui jamais ne s'arrêtera de saigner. (004), Autrefois tes plus grands atouts pour parvenir à tes fins étaient ton humour, ton charisme, ta sensualité. Tu avais toujours le mot pour rire, un sourire charmeur, un regard en biais, une touche d'esprit. L'argent de ton paternel t'as permis de suivre des études élitistes dans une grande université de l'Ivy-League sans t’endetter. T'as beau ne pas y être restée longtemps et n'avoir aucunement hérité des manières de bourgeoises de ta mère tu sais faire preuve d'une rare éloquence dans tes discours. Tu avais l'art et la manière de faire et dire les choses dans un monde où tu savais les apparences capitales. (005), Tu es anticonformiste et indisciplinée les règles, les ordres, les indications, tout ces machins ce n'est vraiment pas ta tasse de thé, tu n'as jamais aimé qu'on te dicte ta conduite et c'est pour cela que le conseil de Fallon n'a pas mis très longtemps à te mettre dehors. Expulsée pour tout un tas de raisons qui sont vraiment toi. T'y as laissé ta sœur cadette, tu la préfères derrière ces murs. Tu refuses qu'elle paye de sa vie tes erreurs, tu ne peux pas permettre que ça se reproduise. Encore. (006), Tu es observatrice – persévérante – persuasive c'était important dans tes escroqueries de savoir manier les mots et avoir l’œil partout, sans être Sherlock Holmes t'as appris avec le temps où regarder, à décoder le comportement des gens, à insister lourdement et t'accrocher comme la pire des sangsue. (007), Tu es empathique mais tu le caches bien, t'as tendance à croire que dès qu'autrui sait qu'il compte aux yeux de quelqu'un il se met à en profiter, ton affection est bien vivace et réelle mais imperceptible, tu as des priorités. Depuis ton enfance tu es maladroite en relation humaine, quand tout n'est plus un jeu, un pari, un défis, quand tout devient sérieux c'est là que t'as la trouille. Mais têtue comme tu es impossible de l'admettre, tu préfères te la jouer moqueuse, te cacher derrière un mur de cynisme, beaucoup plus facile, beaucoup moins compromettant. (008), Gamine adoptée tu ignores qui tu es. D'où tu viens. Et si ta famille t'a offert la sécurité d'un foyer rassurant elle n'a jamais su combler les trous des absences, des doutes, de la remise en question. Fruit d'une erreur, gosse indésirable qu'on rejette pour raison inconnue tu t'es perdue sur le chemin de la reconnaissance et la recherche d'amour inconditionnel. (009), Complexe et éparpillée. tu n'as pas un seul visage, mais trop, des masques que tu changes selon les besoins. Si tu gardais tes mystères tu étais obsédée par ceux des autres. Tu ne pouvais t'empêcher de les analyser, les décortiquer. T'es celle qui voit tout même quand tu ne le veux pas. Parfois tu t'attaches, souvent tu feintes d'être l'amante, l'amie, l'alliée. Tu n'accordes nullement ta confiance car tu pars du principe que tout le monde finit par décevoir. C'est ainsi. Les gens ont besoin d'un petit coup de pouce, qu'on leur chuchote à l'oreille mais ce n'est qu'une aide pour faire tomber d'un côté ou de l'autre. Comme le monde actuel. Il les enlaidit mais il n'est pas à l'origine de toute cette noirceur. L'espèce humaine est mauvaise, ce foutoir n'en est qu'une démonstration. (010), Tu es la discrétion même, celle qui se dérobe, qui est partout à tout moment surtout là où on ne te veut pas, t'es comme un serpent, tu t'engouffres avec une surprenante dextérité dans les failles, tu repères les passages, tu analyses les erreurs. Tapis dans l'ombre tu attends patiemment, calmement le moment adéquat, on t'entend à peine, on peine à te voir, tu files et te faufiles avec habilité. T'es comme de l'eau, on a beau vouloir t'attraper tu trouves toujours une issue. La reine du camouflage et de l'esquive. C'est comme ça que t'as survécu jusqu'ici. (011), Cleptomane dans l'avant ce trait ne fut que décuplé dans l'après, t'es une voleuse. Tu dérobes tout ce qui passe sous ta main, sous tes yeux, tu as besoin de tout prendre, tout récupérer. Comme le pire des parasites, aux aguets, tu sautes sur la moindre occasion. T'es pas là pour faire une boucherie, toi tu observes dans le silence, dénichant armes, matériel, vivres. Tu laisses les autres se fatiguer et viens ensuite leur dérober. La petite voleuse n'a qu'une loi : ce qui est à toi est à moi. (012), Tu as toujours bossé pour toi. Intéressée au possible tu n'as jamais eu l'esprit d'équipe, tu penses d'abord à toi avant les autres... mais tu retournes sur tes pas quand t'es attachée à la personne. Individualiste et personnelle t'as pas vraiment de scrupules, ton credo : la fin justifie les moyens. C'est ce qui t'a coûté ta place dans le camps, "nous avant eux", si en dehors c'est ce qui vous a maintenu en vie toi et ta sœur, ici ça n'a plus lieu d'être. Tu commences seulement à le comprendre, trop tard. (013), Tu n'es pas la sanguinaire, la sadique, la cruelle, tu es celle qui toujours manipule, se rapproche pour sucer jusqu'à la moelle tout ce que tu peux retirer des autres, derrière de beaux sourires se cachent des trahisons, des mensonges, des félonies. Tu n'as jamais été l'amie, dans la vie d'avant ou dans celle d'après, t'es celle qui voile son vrai visage pour obtenir ce qu'elle désire. Et dans ta vie d'avant comme dans celle d'après, t'as été prête à toutes les bassesses pour cela. (014), des tiens il ne reste que ta jeune sœur et toi-même. Ce monde a eu tôt fait de vous déchirer, de vous éparpiller ici et là, tu n'as pas la moindre idée de ce qu'il est advenu de tes jeunes frères Aiden et Matthew. Tu les as perdu alors qu'une horde ravageait votre campement, t'as l'espoir fou qu'ils soient en vie, quelque part. En sécurité. Tu te complais dans le déni refusant d'admettre l'impossible, ne pouvant supporter un autre deuil. Le deuil de trop. T'as déjà trop encaissé. Les pertes comme marques indélébiles qui t'enchaînent à tes anciens démons. Ton cadet Ethan a trouvé la mort à peine quelques jours avant que Fallon ne vous trouve vous. La Faucheuse bien décidée à profiter de la moindre faiblesse. Pas d'une morsure. Pas d'une balle. Pas d'une mauvaise rencontre. Une simple coupure l'a poussé vers une lente agonie, dépérissant sous tes yeux impuissants d'une septicémie. Tu gardes sa croix autour du cou, elle pèse si lourd parfois que tu as l'impression qu'elle brûle ta peau, ton épiderme réagissant aux affres du manque comme souvenir de ton incompétence. T'as pas su garder ta famille unie. Vivante. (015), Pourquoi dit-on la peine, la douleur, le chagrin ? Ce n'est pas un état unique. On devrait dire les peines, les douleurs, les chagrins car la souffrance initiale se décompose en mille séquences aussi douloureuses que le choc premier, qui le perpétuent, l'enflent. Les tiennent prennent tant de place qu'elles parasitent tes rêves, terreurs nocturnes se manifestant par des hurlements qui percent les ténèbres de la nuit. T'en viens à craindre ton propre sommeil. Refusant de fermer les yeux tu batailles contre tes chimères en les sacrifiant sur l'autel de l'insomnie. (016), Tu te raccroches à un homme qui ne veut plus de toi et sa haine agit comme un baume sur tes plaies ouvertes, te persuadant que c'est un châtiment pour tes échecs passés. (017), de cet homme tu étais enceinte. Avant que tout s'écroule. T'as pas eu l'occasion de lui dire et tu ne l'auras plus jamais. T'étais pas sure d'en vouloir de cet enfant, jusqu'à ce que son existence soit mis en péril par ce qui était désormais advenu de votre monde. T'as réalisé que tu voulais le garder, malgré votre train de vie, le froid, la faim, la peur.. Comment pouvais-tu imaginer qu'il survivrait? Tu sais pas. Mais t'y as cru, t'as espéré si fort. Enceinte sur les routes. Enceinte en pleine apocalypse. T'avais ta famille pour veiller sur lui. Ça n'a pas été suffisant. Tu ressens encore la scène, revoyant chaque passage lors de tes nuits agitées. Un hurlement déchirant, Chris accourant. T'étais en sang. Et bien que tu ne ressentais aucune douleur physique tu savais. Tu perdais ton bébé, ton dernier lien avec Liam. Tu t'es reprise. T'as continué. Interdisant à tes frères et sœurs de parler du bébé. Ils n'en ont jamais reparlé, il fallait oublier, prétexter que ce n'était jamais arrivé pour avancer. Tout ce qu'il restait de votre amour, même ça t'avais pas réussi à le sauver. T'as eu l'impression de perdre Liam une seconde fois.
we are the walking dead.
lafayette, louisiane, qu'en pense votre personnage ?

Tu as été ramenée à Lafayette il y a à peine quelques semaines. Après avoir été virée de Fallon ton ancien camps dans le Nevada, tu pensais pas tenir le coup, être de nouveau dehors, seule. Errer. Tu n'y arrivais plus, si Liam n'avait pas été à tes côtés t'aurais surement baissé les bras. Tu savais qu'il avait autant besoin de toi pour survivre que toi de lui, être seul là dehors c'est être mort. Alors t'as continué à te battre, tirant sur une corde déjà prête à se rompre. Par chance vous étiez en train de piller le même supermarché qu'un groupe de la communauté de Lafayette quand des rôdeurs sont arrivés en masse, Liam a tenté de sauver l'un des leurs et tu t'es blessée en le sauvant lui. On t'a ramené au camps où on t'a soigné et vous n'êtes pas repartis. Si Liam s'intègre rapidement tu as plus de mal à baisser ta garde, accorder ta confiance à une bande d'étrangers qui laissent entrer n'importe qui dans leur ville.. Ta méfiance ne t'empêche pas de participer, tu accompagnes les récupérateurs pour ravitailler la ville, tu sais te faire discrète sans attirer l'attention des rôdeurs et s'il le faut tu n'hésites pas à en dérouiller quelques uns à coups de couteau cranté ou munie de ton Glock17, tu ne sors jamais sans l'un ou sans l'autre. Tu as encore du mal à bosser en équipe même si tu fais des efforts considérables pour refouler tes premiers instincts, bien consciente que tu dois ta survie à Lafayette tu ne veux pas te voir expulsée de ce camps également.


rosemary's baby ça commence par un m.
ft. Lauren Cohan personnage inventé.

âge : la majorité bouuh  :tears: fuseau horaire : notre belle France. fréquence de connexion : je suis la moule accrochée au rocher :hola: . où avez vous connu le forum : c'était sur bazz. avis & suggestions : C'EST BEAU C'EST NEUF J'AIME :aw:  votre mot de la fin : love guys vous m'avez trop manqué  :hearteyes:  :lit:  :haha:  :haha:


Dernière édition par Sam Wheeler le Jeu 23 Fév - 22:47, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: l'enfer c'est les autres. (sam)   l'enfer c'est les autres. (sam) EmptyMer 22 Fév - 19:41

dead man walking.
THERE'S BLOOD ON YOUR LIES

 Il y a le début, ce beau début, cet intense, fugace, regretté début. L’histoire. Puis il y a la fin. Généralement ça se termine sur « ils étaient heureux… » Mais après ? Après le happy-end ? Personne ne se demande jamais ce qu’il se passe, ce qu’il se trame quand le rideau est tombé. Brusquement, assourdissant. On ne cherche pas à comprendre, à assimiler, on prend comme ça vient. Tu l’as pris, comme c’est venu, tu t’es trompée. Et si personne ne s’interrogeait parce que la fin si heureuse ne l’est pas tant que ça ? Tu l’as eu, mais comme promis c’était fugace, inespéré et trop fragile. Quand le bonheur vient on l’attend toujours avec une majuscule, et ses grands pas bruyants pour nous faire savoir que c’est lui, lui là, le voilà il est à vous et il faut le garder parce qu’il est si précieux. Mais en réalité ce n’est que fourbe, ce n’est qu’illusion, il arrive silencieusement sur ces jambes frêles et à peine on l’aperçoit qu’il a déjà filé. Filé entre vos doigts. Alors t’as débarqué dans cet autre chose loin de tout ce que tu connaissais. Et comment font-ils cela ? Et comment vivent-t-ils tout cela ? Tu as perdu tes repères. Tu as été chamboulée, amenée, malmenée. Puis tu as retrouvé. On t’a dis de faire attention mais cette voix de la raison tu ne l’as jamais écouté. Tel le petit chaperon rouge tu as fais confiance, tu t’es donné et as fini dévorée. Tu as été blessée dans un amour vain, dans un amour feint, tu as fais du mal toi aussi. Trop. Mais tu es ainsi, trop curieuse, trop aventureuse. Ce monde tu ne l’as pas crains, tu en étais avide, avide de tout. T’avais qu’à te baisser pour attraper les opportunités, pour attraper les possibilités, pour attraper la vie. C’est ce à quoi tu t’es attelée avec trop de dévouement, oubliant au passage celle que tu avais été, celui que tu avais aimé. Tu as effacé des bras pour te blottir dans d’autres. Cette réalité n’avait rien de magique, rien d’épique. Mais où étaient donc tes convictions ? Des mois, des mois de bonheur c’est ce qu’il t’a donné. Mais encore une fois tu n’as pas su préserver son amour, tu n’as pas su garder ce trésor. Tu savais que tu étais incapable de tenir un cœur entre tes mains sans faire de dégâts. Incapable d'en prendre soin, et de lui apporter l'unique chose dont il a besoin... de l'amour. Quand tu vois parfois comment l'amour peut être si simple... et puis comment ailleurs il peut être si compliqué. Tu n’as pas envie de te tuer l'esprit à comprendre pourquoi avec toi ça ne marche pas... ça ne marche jamais. Il a été l’amour de ta vie mais tu ne seras qu’un chapitre de la sienne. Tu ne pouvais pas être heureuse, je n'y arrivais pas. Il fallait toujours que tu vois le petit défaut, que tu détruises tout ce que t'as eu tellement de mal à construire, que tu fiches tout en l'air, que tu sortes tous ces mots qui écorchent le cœur et qui laissent un goût amer dans la bouche. Tu ne pouvais pas être heureuse parce que le bonheur n'apportait rien et que tu te serais ennuyer beaucoup trop à lui dire que tu l'aimais. Alors il a fallut que tu détruises tout ça de nouveau pour pouvoir le désirer encore plus, pour que tu puisses pleurer sur ce que vous n'aurez jamais. T'avais trop peur de tout fracasser si tu l'avais près de toi. T'avais peur de le réduire en bouillie, de le rendre comme toi, fade et excessivement ennuyeux.

DAYS GONE BYE

Tu crois que c'est à tes seize ans que tu t'es rendue comte que vous êtes pris au piège dans cette société, où vos rêves d'enfants sont bien trop grands. Alors vous vous résolvez à cesser de rêver d'une vie de nomade, de ce monde à explorer, de ces gens à découvrir, de ces choses à partager avec des gens qui n'ont pas le même environnement que vous. T'as toujours cru que le monde était à portée de main. Qu'être adulte était signe de liberté, d'indépendance, mais tu t'es aperçu que vous étiez enchaînés par cette société où la liberté, quelle qu'elle soit reste minime. Tu voulais pas te résoudre à ranger tes rêves au fond d'une boîte pour qu'ils ne deviennent que poussière, tu voulais pas les voir se transformer en regrets. Tu tentais de bâtir en toi une certaine force, plus mentale qu'autre chose. T'essayais de t'accrocher à un but... ce but a longtemps été celui « d'être heureuse », mais c'est assez large comme idée. Ta question était : comment le devenir ? C'était tellement plus simple quand t'avais huit ans, quand tu croyais que les problèmes futiles que t'inventais à tes Barbies seraient tes problèmes à toi d'ici une vingtaine d'années, quand t'avais ces étoiles dans le ventre à Noël, quand tu regardais des Walt Disney en pensant que ta vie serait tout aussi féerique que dans ces dessins animés, loin des guerres, de la haine, de l'égoïsme et de toutes ces autres innombrables choses qui hantaient cette planète. Ce monde de démago où l'on vous apprenait les choses à l'envers. Il ne fallait pas se laisser guider par les autres, par ces grands qui tentaient de diriger, mais trouver la lucidité, et trouver cette force. Au risque de finir par être tondu et vidé de votre douce âme... à ne pas déchiffrer les codes... à vivre guidé inconsciemment sur le chemin du cercueil en paille. Toi tu ne voulais pas de tout ça, mais tu t’y prenais mal. Et puis tu es arrivée ici. Ici le monde en lambeaux. L'équilibre brisé. Ici dans ce rien, ce vide, ce néant. Non, en fait c’est pas du néant mais du superflu. Trop de bruits, trop de cris, trop de peur. Un vacarme immense et sans fin. T’étais perdue, esseulée, désemparée, désincarnée. Tu n’avais plus tes repères, tu étais seule dans cet amas d’immondices. Tu ne te reconnaissais même plus, suspendue à cette réalité effrayante. Tu avais tout, puis tout perdu, sensation de bonheur oublié qui te faisait écho douloureusement. Morts. Et tout s'est effondré pour toi. Il n'y avait plus de vous, plus de famille, plus d'avenir. Juste toi qui tentais de préserver ce qui restait. Tu t’es effondrée. Une fille à genoux qui mordait sa main dans l’espoir de ressentir quelque chose. Et qui hurlait. Qui hurlait une plainte incohérente. Comme si le désespoir avait pris forme. La forme d’un cri. Tu criais la fin d’un rêve, tu criais la fin du monde. Tu criais ce qui avait disparu en un instant. Fini. Terminé. Tu criais l’atroce réalité de cette vie injuste qui donne, et qui reprend. Tu criais ce que tu étais. Avais été. Ce que t'aurais pu devenir. Tu criais ta détresse, ta douleur, tes proches. T'avais vint-six ans. Et tu t'es rendue compte que tu étais toujours prise au piège.

Tu as laissé derrières tes promesses et noyé le reste. Puis tu as rouvert les yeux, tu es tombée de haut, de bien haut. Mieux vaut chuter que de ne jamais s’élever ? Mais chaque jour est unique. Pensez à aujourd'hui et dîtes vous bien que demain tout cela ne sera que du vent, après-demain ce sera perdu. Votre vie vous échappe, des fragments glissent tout droit hors de votre mémoire. Tout ce qui faisait ton monde un jour s'est enfoncé au plus profond de ton esprit, il est allé se cacher dans un coin et a sombré dans l'oubli. Tu as oublié ces sentiments, ces odeurs, ces images, tu as oublié tout cet amour, ces rires, ces personnes qui étaient là, qui formaient cette bulle dans laquelle tu étais si bien mais qui a fini par s'éclater. Ce fut ça le plus triste, l'effacement de ces émotions, des souvenirs, comme si rien n'avait jamais existé. Comme si tout n'avait était qu'un rêve, que du flou. Il t’a fallu trouver le courage de l'accepter, il t’a fallu apprendre à laisser ses bagages se vider malgré toi, fallu savoir fermer la porte, jeter la clé, tirer un trait, tourner la page et la brûler. Pour recommencer ailleurs. Pour recommencer à zéro. Pour survivre.


Dernière édition par Sam Wheeler le Mer 22 Fév - 20:14, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: l'enfer c'est les autres. (sam)   l'enfer c'est les autres. (sam) EmptyMer 22 Fév - 19:44

REBIENVENUE TOIIIII :v: :v: :brille: :brille: I love you I love you :hihi: :keur:
T'es belle, ça fait plaisir de te revoir :red: :red: :haa: :haa: :haa: :foulove:
Et finalement Joshua c'est le nouveau demi-frère de Liam, alors on pourra se trouver un lien :hihi: même si évidement Joshua, c'pas Evey, faudra pas compter sur lui pour être tout pipou :hihi:
Bon courage pour ta fiche, si tu as des questions, n'hésite pas :v: :brille: :brille: :flirt: I love you
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MessageSujet: Re: l'enfer c'est les autres. (sam)   l'enfer c'est les autres. (sam) EmptyMer 22 Fév - 20:33

Silas Castellanos a écrit:
REBIENVENUE TOIIIII :v: :v: :brille: :brille: I love you I love you :hihi: :keur:
T'es belle, ça fait plaisir de te revoir :red: :red: :haa: :haa: :haa: :foulove:
Et finalement Joshua c'est le nouveau demi-frère de Liam, alors on pourra se trouver un lien :hihi: même si évidement Joshua, c'pas Evey, faudra pas compter sur lui pour être tout pipou :hihi:
Bon courage pour ta fiche, si tu as des questions, n'hésite pas :v: :brille: :brille: :flirt: I love you
MERCIIIIIIII :hearteyes: :hearteyes: :hearteyes: :bave: :red: :red: :red: :red: :red: :hola:
ça fait tellement plaisir d'être de retour, vous avez fait un travail de fou c'est magnifique :cloud: et ces smileys rangés par couleur la classe :hola: :héé: :héé:
oh mais oui ! Je vois vous avez fait quelques changements dans vos perso faudra que je me tienne à jour :dead: :dead: mais effectivement si Jojo devient le demi-frère de Liam nous faudra un lien.. qui sera sûrement plus tendu qu'avec Evey :mdr:
au passage je ne t'ai pas répondu sur DMC sorry donc je le fais ici rapidou :huhu: je ne pense pas prendre mon TC de suite finalement, je veux déjà voir comment j'arrive à gérer Sia et Sam parce qu'entre temps mes disponibilités pour un autre perso ont un peu changé :dead: même si je dis pas, ton scénario avec Camila me tente bien surtout que je suis à fond sur Riverdaaaale en ce moment :pliz: :pliz:
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MessageSujet: Re: l'enfer c'est les autres. (sam)   l'enfer c'est les autres. (sam) EmptyMer 22 Fév - 21:58

être à fond sur riverdale, c'est bien. :héé: :pervers: (ouais je m'incruste comme ça dans la conversation, keskiyaaa) bref, hello meuf de moé. enfin, future meuf de moé. enfin, ex meuf de moé. BREF. tu m'as comprise, jtm tp bb, please be mine. :kissou: mais pas trop parce que j'ai encore la haine contre toi morue. /faut que je calme le liam qui est en moi, ptn. sinon dans tout ça, BIENVENUE SUR NOTRE NOUVEL ENFANT, j'espère que t'y sentiras comme chez toi.  :brille: trop hâte de rp avec toi, belle gosse.  :aw:

ps : je veux voir joshua et sam se battre pour le corps de liam. :v:
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MessageSujet: Re: l'enfer c'est les autres. (sam)   l'enfer c'est les autres. (sam) EmptyJeu 23 Fév - 15:11

omg j'adore ce début de fiche ! :gaa: quel personnage original, surtout avec une telle actrice. :hola: :cute:
bienvenue parmi nous :v:
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MessageSujet: Re: l'enfer c'est les autres. (sam)   l'enfer c'est les autres. (sam) EmptyJeu 23 Fév - 21:21

Liam Bakh a écrit:
être à fond sur riverdale, c'est bien. :héé: :pervers: (ouais je m'incruste comme ça dans la conversation, keskiyaaa) bref, hello meuf de moé. enfin, future meuf de moé. enfin, ex meuf de moé. BREF. tu m'as comprise, jtm tp bb, please be mine. :kissou: mais pas trop parce que j'ai encore la haine contre toi morue. /faut que je calme le liam qui est en moi, ptn. sinon dans tout ça, BIENVENUE SUR NOTRE NOUVEL ENFANT, j'espère que t'y sentiras comme chez toi.  :brille: trop hâte de rp avec toi, belle gosse.  :aw:

ps : je veux voir joshua et sam se battre pour le corps de liam. :v:

ouais tu t'incrustes tranquille même :siffle: hâte de voir le nouvel épisode demain :hearteyes: :hearteyes: :hearteyes:
y'a de quoi s'embrouiller :hola: mais nous on est tout babe passé présent futur on se contente pas de peu :tongue:
me traite pas de morue gueux :fuck:
la rancune c'est moche :colère: :colère:
je suis déjà chez moi :lunettes:

ouais sauf qu'ils en feront pas la même utilité vois-tu :hihi: :hihi:
faut que jte mpornes pour parler groupe parce que du coup j'avais envie de les mettre dans le camps moi bichette :(oo): donc j'avais une idée faut que jt'en parle :titcoeur:


Patty Prewett a écrit:
omg j'adore ce début de fiche ! :gaa: quel personnage original, surtout avec une telle actrice. :hola: :cute:
bienvenue parmi nous :v:
merci beaucoup contente que ça te plaise :hearteyes: :hearteyes:
avec une telle actrice j'étais un peu obligée aussi ça aurait fait too much une Maggie bis :mdr:
Emma est tellement belle ce choix gère :lilheart:
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MessageSujet: Re: l'enfer c'est les autres. (sam)   l'enfer c'est les autres. (sam) EmptyJeu 23 Fév - 21:35

mporne-moi donc ma gueuse d'amour, je te suis là où tu vas :hola: et j'édite ma fiche après tes idées, hein, osef, m'en balek. sam is mine. :gaa:
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MessageSujet: Re: l'enfer c'est les autres. (sam)   l'enfer c'est les autres. (sam) EmptyJeu 23 Fév - 21:49

Emma Brown a écrit:
mporne-moi donc ma gueuse d'amour, je te suis là où tu vas :hola: et j'édite ma fiche après tes idées, hein, osef, m'en balek. sam is mine. :gaa:
check :tongue:
t'es belle avec des boobs mais jt'ai mporné sous l'autre gueux tu m'excuseras :siffle:
tu ferais bien de mettre ça dans la tête du rancunier :hola:
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MessageSujet: Re: l'enfer c'est les autres. (sam)   l'enfer c'est les autres. (sam) EmptyJeu 23 Fév - 22:55



validation, validation
t'es beau, t'es charmant, tu m'as l'air sincère
Hohoho, tu viens d'être validé(e) jeune sauterelle des îles, mais avant de passer aux hostilités, laisse-moi te dire une chose ou deux : je te ken violemment, bisous. :v:  :v:  :v:  :v: et tu vas être bonne en jaune poussin. :hihi:

Maintenant, laisse-nous t'abreuver avec ce tumblr de folie où tu retrouveras des gifs très très drôles (attention aux spoilers). Si ce n'est pas déjà fait, va jeter un coup d'oeil dans le bottin des avatars afin de vérifier si on ne t'a pas oublié au passage, puis tu pourras aller recenser ton rôle et ton habitation si ton personnage vit à Lafayette. Et pour que ton intégration se passe bien, va te créer une fiche de liens et, si l'envie t'en prend, une  chronologie. Tu vas pouvoir également te renseigner sur la gestion de tes points et participer à un rp mission. Si tu veux, tu peux aussi aller créer un scénario ou des pré-liens afin d'aider de futurs intéressés dans la construction de leur personnage. Mais puisqu'un forum est là aussi pour te distraire un max, viens nous rejoindre dans le merveilleux flood et supporte-nous dans la promotion du forum (on te le rendra bien, avec un max de bisous et de love).

voilà, maintenant que tu es validé(e), tu peux venir faire la fête avec nous et n'oublie pas que les admins sont à ta disposition 24h/24 (et même 38h/24 si des offrandes sont faites).   amuse-toi bien parmi nous.    
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MessageSujet: Re: l'enfer c'est les autres. (sam)   l'enfer c'est les autres. (sam) EmptyJeu 23 Fév - 23:00

ouais moi je suis bonne en jaune poussin
mais toi WTF? :èé: :èé:
qu'est-ce que tu fous en rouge sale fayot? :colère:
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MessageSujet: Re: l'enfer c'est les autres. (sam)   l'enfer c'est les autres. (sam) Empty

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l'enfer c'est les autres. (sam)

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