The Day Will Come When You Won't Be nom : moon, comme la lune, tu es née durant la nuit, aux hurlements des loups, dans une forêt. prénom : fiona, telle est le prénom qu'on lui a donné à sa naissance, c'est sa mère qui l'a choisi. âge : elle a vingt-cinq ans et des poussières. date et lieu de naissance : la nouvelle-orléans, un 29 novembre. nationalité : américaine. origines : américaines, française. situation civile : fiona a fiancé un homme. enfin. ça c'est surtout fait spontanément tout juste dans la préapocalypse. elle, qui voulait le quitter. elle doit encore le supporter. néanmoins, elle reste célibataire dans son esprit. elle s'est épris d'un autre homme. possiblement enceinte de lui, mais rien n'est sûr. orientation sexuelle : les hommes, elle les aime, mais les déteste tout autant. ancien métier : étudiante en pédiatrie et éducatrice à la petite enfance à l’hôpital où elle s'occupait des enfants malades, elle les aidait à mieux passer les journées et oublier leurs maux. ancien lieu d'habitation : la nouvelle-orléans. camp actuel : (les horsemen) seule, enfin, pas totalement, elle fait partie d'un petit groupe. groupe : rock in the road. crédits : (Smoaks - avatar).   just survive somehow. (001), une femme forte, une femme de caractère, de courage, d'aventure. (002), un coeur de pierre, brisé en mille petits morceaux par un homme impur. quelques petits bouts rouges restent encore, mais elle ne laisse voir ses bouts à personnes. elle a mis la clé dans un puits où personne ne peut accéder. son coeur est inaccessible à ses yeux. elle se refuse le droit. pourtant, elle compatit si souvent, elle n'arrive pas à tuer pour le simple plaisir de le faire. (003), elle a toujours aimé les enfants. elle a souvent gardé les enfants des autres. elle ignore pourquoi, mais c'est un don de pouvoir calmer un gosse en crise ou un bébé qui ne cesse de pleurer depuis de longues minutes. (004), c'est une non-fumeuse. mais elle a tendance à noyer ses problèmes et/ou ses angoisses dans l'alcool. (005), elle connaît toutes les chansons de disney par cœur et il lui arrivait encore, avant la fin du monde, d'écouter le samedi soir en mangeant du mais soufflé, les films de son enfance. (006), c'est une sportive fiona. une boxeuse. elle s'est se défendre, se battre, porter les coups, là où il faut, comment se défendre contre un agresseur. (007), elle n'a jamais voulu ce fiancé. elle voulait juste le laisser tomber, mais l'apocalypse l'a obligé à le suivre, seulement pour rester vivante. elle croyait que peut-être qu'en s'alliant, ils pourraient retomber en amour, mais non, ce fut pire, vraiment pire. elle le déteste. mais la peur y joue beaucoup. elle se sait débrouillarde, mais si elle venait à partir de ce groupe, elle n'aura plus aucune chance de respirer le lendemain. elle est condamnée. (008), fiona a parfois honte de la personne qu'elle est devenue, loin de l'image qu'elle projetait avant l'apocalypse, celle d'une femme douce, aimable, dynamique. là, elle ressemble plus à une sauvage, même si elle garde son côté protectrice. (009), elle est enceinte depuis un mois ou deux, mais l'ignore encore, si ce n'est qu'elle a quelques symptômes subtiles. elle n'y fait pas tellement attention, mais ses maux de cœurs ne s'améliorent pas. son caractère en prend un coup, elle devient plus impatiente, plus sauvage, toujours en ayant cette conscience, qu'elle tente de garder dans sa tête. (010), elle a pris le signe des langages pour son boulot, elle parle également le français, qui est sa seconde langue..

âge : 26 pour encore un mois. fuseau horaire : celui du Qc. fréquence de connexion : 5/7 où avez vous connu le forum : bazzart avis & suggestions :    votre mot de la fin :  

tu es une femme forte fiona. tu n'as jamais baissé les bras devant une situation, mais là, c'est trop pour toi, pour ton cœur qui a envie d'arrêter pour te libérer de tout cela. tu as peur. petite chose effrayée. petite chose ensanglantée. en pleurs et sans défense. tu as assez couru maintenant. tu t'es laissé tomber contre ce vieil arbre. tu ne fais pas gaffe aux rôdeurs. tu as l'esprit embrouillé. tu as l'impression que tu vas t'étouffer avec ton propre souffle, ton propre sang. tu es morte à l'intérieur, même à l'extérieur, tu y es presque. ton visage est couvert de sang. tes vêtements sont déchirés et tu n'arrives même plus à respirer. rien de sort. pas d'air. rien. tu es vide. morte-vivante.

quelques heures plus tôt... tu souriais encore. tu respirais. tu parlais normalement. ta peau n'était pas couverte de sang. ton entre-jambes ne te brûlait pas. il a fallu que tu t'éloignes pour récupérer de l'eau et des brindilles. on t'a suivi. enfin. lui. il l'a fait. il te voulait depuis longtemps. mais ton fiancé était souvent là. présent à tes côtés, pour te protéger. mais là, il ne l'était pas, il s'était fait une petite entorse et tu voulais le ménager. ta gentillesse encore. te voilà penchée près du cours d'eau, ton seau à côté de toi. tu récupères de l'eau dans ta main et en passe délicatement sur son visage. tu lèves la tête vers le ciel ensuite. tu as l'impression de lui demander pourquoi. pourquoi est-ce que tout cela arrive. est-ce réel ? vas-tu finir par te réveiller dans un champ ou dans ton lit tout simplement et te dire que tout cela, n'était qu'un mauvais rêve ? tu soupires. tu n'y crois pas une seconde. tout cela, c'est des conneries. des foutaises. tu fermes à peine les yeux que l'on te traîne violemment à l'arrière. un homme se met sur toi en califourchon. tu le connais. c'est l'un des plus salauds de la bande. une erreur de la nature. une ordure. il t'a toujours dégoûté et tu t'es déjà tenu loin de lui. mais là, tu n'as pas voulu de cette situation. tu te débats comme jamais. ta vie est en jeu. ton corps l'est tout autant, car il commence à te tripoter. tu arrives à le mordre jusqu'au sang. tu t'éloignes rapidement en rampant sur le sol.
tu veux te rendre jusqu'au camp, tu sais que ce sont des merdes, mais ton fiancé, il est là, il va te protéger, il ne te partage pas quand même. mais tu n'y arrives pas, car l'homme est rapide, il te rattrape et pousse contre le premier arbre et ton dos se fracasse contre le bois dur. ce n'est certainement pas fini, or de question. tu tentes de fouiller dans tes poches. d'habitude, tu as toujours ton couteau sur toi, mais là, tu n'as absolument rien du tout. tu attrapes une branche et le frappes avec cela, mais rien ne l'arrête. il commence à t'insulter, c'est typique chez les ordures, t'es une salope apparemment. tout se passe si rapidement. il te bat jusqu'à ce que perde conscience ou pas très loin. il a le temps de baisser ton pantalon et commencer à te violer. pauvre chose que tu es. tu n'arrives pas à le repousser. tu es épuisée, tu n'as plus de jus. tout ce que tu souhaites, c'est un miracle. mais rien. rien ne se passe comme tu le souhaites. tu te réveilles une heure après, à moitié dénudée, avec un mal de crâne atroce et ton visage enflé.

t'es sale fiona. tu devrais te laver. te nettoyer. tu encaisses. tu t'effondres sur ce qui te sert de lit. tu sanglotes comme un enfant. parce que tu ne voulais pas pleurer. tu ne voulais pas être faible devant lui. mais c'est trop tard. tes blessures te font terriblement mal. tes côtes. ton visage. tes cuisses. tout ton être entier souffre. surtout ton mental. ton fiancé te demande quoi. pourquoi pleures-tu ? tu arrives à peine à parler, mais tu le fais finalement. tu t'attends à ce qu'il te réconforte. qu'il aille tuer l'autre homme, mais non, fiona, il ne le fait même pas. tu m'as trompé. tu es une traîné fiona. moi qui t'ai tout donné, c'est ainsi que tu me remercies ? si tu en avais la force, tu le frapperais au visage et tu commettrais sûrement un meurtre, mais t'es faible. tes jambes t'empêchent de bouger. tu encaisses. encore et encore. tu l'emmerdes. il sort de la tente. de l'abri où vous dormez.
quelqu'un pénètre à l'intérieur de la tente. tu supposes que c'est ton fiancé. ce connard qui est venu en ajouter une seconde couche. tu fermes les yeux. tu veux juste t'endormir et pour toujours. heureusement pour toi, ce n'est pas lui. la voix qui se fait entendre, c'est un autre du groupe. un homme que tu commences de plus en plus à apprécier. à aimer même. il est celui qui te réconforte. celui qui te venge. il t'a vengé. il l'a tué, mais pas devant tout le monde, ça serait trop dur à expliquer, de te faire revivre ce moment lourdement pénible.
tu n'as jamais voulu rejoindre les horsemen. il l'a fait pour toi. il décide souvent pour toi. tu veux retrouver ta liberté. le mouvement de tes gestes, mais tu dois agir comme eux ou en partie. tu n'es pas totalement comme ces sauvages. pourtant, commence à en devenir une. tu deviens colérique, impatiente. et avec tout cela, tu tentes de rester calme, de ne pas perdre pied.
t'es piégé fiona. t'es à eux. tu leur appartiens.  

Hohoho, tu viens d'être validé(e) jeune sauterelle des îles, mais avant de passer aux hostilités, laisse-moi te dire une chose ou deux : c'est un pire fdp son ex-fiancé sérieux   et le gars qui l'a violée aussi, mais v'la la réaction du fiancé   .

Maintenant, laisse-nous t'abreuver avec ce tumblr de folie où tu retrouveras des gifs très très drôles (attention aux spoilers). Si ce n'est pas déjà fait, va jeter un coup d'oeil dans le bottin des avatars afin de vérifier si on ne t'a pas oublié au passage, puis tu pourras aller recenser ton rôle et ton habitation si ton personnage vit à Lafayette. Et pour que ton intégration se passe bien, va te créer une fiche de liens et, si l'envie t'en prend, une  chronologie. Tu vas pouvoir également te renseigner sur la gestion de tes points et participer à un rp mission. Si tu veux, tu peux aussi aller créer un scénario ou des pré-liens afin d'aider de futurs intéressés dans la construction de leur personnage. Mais puisqu'un forum est là aussi pour te distraire un max, viens nous rejoindre dans le merveilleux flood et supporte-nous dans la promotion du forum (on te le rendra bien, avec un max de bisous et de love).

voilà, maintenant que tu es validé(e), tu peux venir faire la fête avec nous et n'oublie pas que les admins sont à ta disposition 24h/24 (et même 38h/24 si des offrandes sont faites).   amuse-toi bien parmi nous.