nom : Holloway, uc. prénom : Rosie, (uc) deuxième prénom, (uc) âge : vingt-et-un ans. date et lieu de naissance : elle est née sous le signe du bélier, le douze avril 1995 à lieu(uc) nationalité : Américaine (uc)  origines : (uc) situation civile : célibataire, (uc) orientation sexuelle : bisexuelle, (uc) ancien métier : elle était étudiante à uc ancien lieu d'habitation : uc camp actuel : Lafayette (uc) groupe : bury me here. crédits : killer from a gang.  

(001), née au Caire, ses parents ont déménagé à Dakar environ deux ans plus tard, quelques mois avant la naissance de son petit frère, de là s’en sont suivis de nombreux voyages, à Beyrouth puis à Tunis, avant d’aller voir de l’autre côté de la mer méditerranée à Chypre puis Sarajevo. C’est quand elle était âgée de neuf ans qu’on se décida à retourner au États-Unis afin d’avoir une vie plus stable. Les bagages furent d’abord posés à San Francisco en Californie, sa mère ayant obtenu un poste de professeur à Stanford, puis on déménagea à New-York City, pour qu’elle puisse enseigner et devenir doyenne de son département à Columbia, enfin en 2012 on finit par opter pour la Nouvelle-Orléans, retraite anticipée du couple, qui préférait de toute façon se consacrer à l’écriture. (002), on a voulu faire d’elle une Park Avenue Princess quand elle est arrivée à New-York et si c’est vrai qu’il lui est arrivé de porter un sac Hermès, ou les Louboutins de sa mère une ou deux fois, le titre n’a pas tenu, sa malencontreuse resting bitch face ne suffisait pas à cacher son naturel jovial et rieur, aussi si elle fut considérée parfois inapprochable par ses pairs ce fut plus du à sa popularité qu’à une quelconque froideur.  (003), Ses parents sont de grands pacifistes, mais un cours de self-défense au collège et Leila était accro, loin d’être naturellement douée, à force de persévérance toutefois elle a fini par trouvé la main, laissant la simple self-défense pour apprendre des sports de combats un peu plus offensifs. Pour autant, elle ne s'est jamais vraiment battue avec qui que ce soit jusqu'à l'épidémie, elle n'est pas belliqueuse pour un sou, elle aime juste bien le sport en soi et le fait d'être en mesure de se défendre en cas de besoin. Il en faudrait vraiment beaucoup pour la pousser à sortir les griffes - à part pour sauver son frère des griffes d'un zombie, ça s'est même jamais vu. (004), l’apprentissage des langues a toujours été jugé d’une importance cruciale dans le foyer Rivers, aussi Leila n’y a pas échappé, éduquée dans une primaire puis un collège-lycée français dans les diverses villes où les Rivers ont emménagé puis déménagé (chaque fois que c'était possible du moins), elle a également appris la langue maternelle de sa mère dès la tendre enfance et suivi des cours d’espagnol depuis ses dix ans. Enfin, elle a commencé le mandarin en fin de lycée. À la fac, elle a un peu mis tout ça de côté, mais elle a fait deux ans d’arabe, souhaitant au passage en apprendre plus sur le pays qui l’a vue naître. Elle est toujours incapable de le parler, mais elle peut à peu près le lire. Quant au reste, c'est le français qui lui vient le plus naturellement, hormis l'anglais bien sûr, l'espagnol a commencé un peu à se perdre de même que le peu de mandarin acquis.  (005), elle adore lire et il n’est pas rare de la trouver avec un livre entre les mains, son air concentré à la limite du boudeur fait qu’on ose rarement l’approcher dans ces moments-là, à raison d’ailleurs puisqu’elle déteste être dérangée. (006), peut-être cherche-t-elle à rattraper le fait que son prénom ne s'y prête pas particulièrement, mais Leila a pour habitude de donner des surnoms à ses proches, plus l'affection est grande plus le ridicule croît. Autrement, elle use et abuse, des mon chou, honey, love qui donnent, par leur généralité, l'impression d'une  proximité factice ou superficielle, pourtant, puisque Leila ouvre assez facilement son cœur, c'est sciemment qu'elle les emploie de façon aussi libérale. (007), tout ce qu'elle peut faire pour aider au camp, elle le fait, par exemple, on l'imagine aisément se priver volontairement de nourriture un jour ou deux pour donner sa part à qui en aurait plus besoin qu'elle. L'altruisme n'est pas une valeur nouvelle chez elle, généreuse, parfois un peu trop, elle a toujours donné sans compter. Avant ce n'était pas grave: elle possédait beaucoup. Aujourd'hui c'est plus compliqué et ça pourrait bien finir par la mener à sa propre perte si elle ne revoit pas bientôt sa politique. (008), elle a toujours voué une passion certaine à la musique, goûts assez éclectiques en la matière, elle avait toutefois une jolie collection de vieux vinyles dans son appartement à Washington DC, accompagnée bien sûr d’un lecteur en pleine forme, chiné dans un marché d’antiques, c’est peut-être l’objet qui lui manque le plus à Lafayette. Elle adorait également aller au festival et elle a les selfies pour le montrer, de Coachella à Sasquatch! Festival en passant Lollapalooza elle ne se refusait rien quand il s’agissait de passer un week-end à écouter de la bonne musique accompagnée par les bonnes personnes. (009), un attrape-rêve sous le bras droit, les étoiles de la constellation du bélier sur l’épaule gauche et un petit éclair dans le creux d’un de ses poignets, elle avait encore plein de projets de rencontres de l’encre avec sa peau, mais n’a tout simplement pas eu le temps de les mettre en œuvre.  (010), excellente nageuse, elle a gagné de nombreuses compétition entre ses douze et dix-sept ans avant de décider de ne conserver la natation qu’en simple hobby ; ça lui prenait trop de temps à son goût.