The Day Will Come When You Won't Be nom : faux, hypocrites, puissant. c'est ce qu'étaient les blossom auparavant. du moins, ce ne sont que des échos. baby n'a jamais vraiment connu ces personnes. résultat d'une tromperie. prénom : baby, maxon. baby est son vrai prénom, celui qui apparaît sur sa carte d'identité. il préfère se faire surnommer  b.  juste b. âge : vingt-trois ans. les années passent, il ne les regarde plus couler. . date et lieu de naissance : né le quatre septembre, dans la ville de little rock. nationalité : de nationalié américaine, ayant vu le jour dans l'arkansas. origines : baby a des origines sud africaines, de sa mère. il n'en sait pas plus. situation civile : célibataire. il ne veut s'attacher à personne. orientation sexuelle : il est hétérosexuel, préférant largement les filles aux garçons. ancien métier : baby était facteur. il a arrêté ses études pour aider sa mère à payer le loyer. ancien lieu d'habitation : kittle rock, arkansas. camp actuel : récemment arrivé à lafayette. groupe : bury me here. crédits : kozmic blues.  just survive somehow. (001), baby a six demis-frères et soeurs qu'il n'a jamais rencontré. jusqu'à récemment, il a rencontré vee. la seule survivante de l'autre côté blossom. (002), baby avait des talents en informatiques incroyable. c'était un jeu d'enfant d'hacker tout ce qu'il voulait. (003), il a, à plusieurs reprises, terminé en prison. (004), il était un grand fumeur avant l'apocalypse. (005), baby a toujours les photos dans sa poche. c'est ce qui lui fait remonter la pente dès qu'il commence à craquer. (006), il a du mal à gérer ses émotions. il doit contrôler sa colère, il peut être violent mais il sait que ce n'est pas tolérer ici. (007), baby a déjà du tué plusieurs êtres-humains. ça l'a changé d'une certaine façon. il n'en parle pas. (008), on peut le qualifier de loup solitaire. il parle très peu. il ne parle qu'à sa mère, généralement. (009), même si on le qualifiait de voyou, baby est quelqu'un de bien. il est juste né dans le mauvais quartier. (010),  baby est un très bon coureur. il a très vite eu l'habitude de courir, de fuir. on le voit pas passer. il est rapide, baby.

âge : seize ans. fuseau horaire : vancouver, canada. fréquence de connexion : quatre sur sept. où avez vous connu le forum : bazzart. avis & suggestions : tout beau, tout mignon.    votre mot de la fin : coeur sur vous.

tu zappes encore une fois la chaîne. rien ne te plaît, aucun programme pour enfant à cette heure-ci. tu t'ennuies, tu as séché les cours en prétendant être malade alors que ta mère savait très bien que tu n'étais pas malade du tout. seulement, elle s'en préoccupait pas trop. elle disait que l'école, c'était bête. que t'apprendrais rien là-bas, si ce n'est que des calculs et des formules scientifique qui ne te serviront jamais dans le futur. car elle savait bien que tu ne finirais pas scientifique ou grand génie des maths. t'étais sûrement un futur éboueur, ou un voleur. c'est ce que vous faisiez, généralement. tu t'arrêtes et penches ta tête vers la droite. « hey, m'man r'garde. c'gars a l'même nom que moi ! » sur l'écran de votre télévision, vous pouvez voir afficher "patrick blossom" et l'homme est entouré de personnes bien habillés. ils annoncent l'ouverture de quelque chose, avec de gros ciseaux et des applaudissements. c'est à new-york. c'est loin. trop loin. ta mère observe l'écran, elle ne bouge pas. tu peux lire dans les yeux de ta mère une pointe de colère, mais beaucoup de tristesse. pourquoi t'es triste, maman? pourquoi tu retiens tes larmes ? t'as peur, m'man? tu lances un sos? maman, j'ai mal pour toi.

tu t'es beaucoup informé sur cet homme. car dès que ta mère l'a vu, à la télévision, elle a changé de comportement. et ça t'a perturbé. tu as fait des recherches sur google. il avait une page wikipédia et ça t'a interpellé. ils disent que c'est un homme brave, puissant et riche comme tout. tu aurais aimé être un blossom de ce genre. quelqu'un de puissant, de riche. sauf que toi, tu n'étais rien qu'un petit voyou de l'arkansas. un voleur, un garçon qui n'a jamais cessé de survivre dans la misère. « baby, le dîner est prêt. » et par dîner, maman elle veut dire quelque chose qu'elle a volé, quelque chose qui provient de la vieille femme chez qui maman travaille. tu sors de ta chambre et tu t'installes sur le fauteuil, il grince, il est vieux. ta mère te tend une assiette en carton que tu attrapes en lui souriant. tu retournes sur la chaîne des infos. et tu mettras ça sur la faute du hasard, mais tu revois cet homme. grand, les cheveux bruns coiffés parfaitement et une tonnes de personnes autour de lui, encore une fois. sauf qu'aujourd'hui, il y a des individus plus jeunes, qui lui ressemblent. ils sont coiffés et habillés parfaitement, des reflex snobs. ta mère éteint la télévision et garde la télécommande à ses côtés. tu te tournes vers elle en haussant un sourcil, ne comprenant pas le souci. « je regardai. » elle souffle. « ce n'est pas intéressant. » tu roules des yeux avant de te concentrer sur ton assiette et de manger. tu n'as pas avalé quoi que ce soit depuis ce matin et tu avoues crever la dalle. « c'est quoi ton problème ? » tu reviens, en regardant ta mère, qui ne parle plus du tout. elle a la même réaction que l'autre fois. la première fois qu'elle a vu cet homme à la télévision, elle avait l'air dépité. et c'était y'a quelques mois.   « c'est quoi ces réactions bipolaires que tu as ? tu connais c'gars ? un de tes clients ? » et par client, c'est dans un sens très intime. ta mère a un passé assez tordu. elle a été dans des affaires pas très nettes lorsqu'elle était prostituée. elle se lève et tu ne la vois pas arriver, mais tu as bien senti la gifle. tu lâches ton assiette sur tes genoux, c'est sale, maintenant. ta main vient directement caresser ta joue, en grimaçant. elle va vers la cuisine et elle craque. ta mère, elle pleure. elle pleure devant toi et ça te brise le coeur d'entendre ses petits gémissements, ses reniflements. tu comprends qu'elle connaît cet homme et qu'au final, tu as peut-être visé juste. ça te fait mal d'avoir blesser ta mère avec tes mots. tu te lèves, tu t'en fous de la nourriture sur tes jambes. tu t'abaisses et tu passes tes bras autour de ta mère. elle se retourne et te prend dans ses bras, elle s'excuse, elle te souffle des mots, et au fond, t'as jamais eu aussi mal. ton coeur se serre et tes yeux brûlent. « ça va aller, maman. » que tu lui souffles à l'oreille. mais au fond, tu n'en sais rien. tu visais au hasard. tu priais pour que ça aille mieux. mais ce n'était que la descente aux enfers. la première marche.

ta mère t'observe, les larmes aux yeux. et toi, t'es en face d'elle, la tête baissée. elle vient de te lâcher une bombe à la figure. l'homme de la télévision, tu aurais du le connaître plus tôt. l'homme à la télévision, c'était ton géniteur. «  mon père ? » tu le répètes, encore et encore. sauf que ça sonne pas logique, dans ta tête. patrick. patrick, t'es rien pour moi. que tu te répètes. patrick, t'es qu'un tocard. que tu déduis. il t'a abandonné, toi ainsi que ta mère. il trompait sa femme en allant coucher avec ta mère. elle est tombée enceinte, lui qui lui promettait un amour éternel, s'est enfuit lorsqu'il a appris la nouvelle. c'était trop tard pour avorter, alors ta mère t'a gardé. seule. elle s'est battue pour toi, même si au final, tu n'étais qu'un erreur. baby, c'était une promesse qu'avait fait patrick à ta mère. elle l'aimait tellement qu'elle t'a appelé ainsi. baby. parce que ça lui faisait revenir des souvenirs et des promesses aussi fausses que la famille blossom. c'est de là que vient ton foutu prénom. un délire qu'elle a eu avec cet homme infidèle. patrick, t'es qu'un lâche et t'as rien de brave. patrick, je te hais. partick, tu vas payer.

« t'es prêt, b ? » tu lèves les yeux vers alaska, ta petite-amie. vous avez trouvez le numéro de ton père, tu l'avais entre les mains. une carte. ça semblait officiel, propre, classe. tu serres de la mâchoire. est-ce que t'es prêt ? c'était une question assez bête. après une dizaine d'années, tu allais échanger ton premier mot avec ton père. et tu flippais. parce qu'au fond, qu'est-ce que tu allais lui dire, à ton père ? tu le détestais. mais tu pouvais pas l'appeler pour lui dire : "je te déteste connard." même si tu aurais aimé. tu n'en avais pas le courage. alaske et toi aviez eu une idée, elle attendait certainement pas autant de toi. ça vous avez juste effleurer l'esprit. tu attrapes le téléphone d'une autre main et tu composes le numéro, sous les yeux de ta petite-amie. elle trouve cela courageux de ta part, tu as voulu qu'elle reste avec toi. juste le temps de passer l'appel. juste le temps d'entendre la voix de cet inconnu. tu appelles, tu entends sonner et peu à peu, tu perds espoir d'une réponse à cet appel. « résidence blossom, qui est à l'appareil ? » la voix d'une femme au bout du fils. c'était bien le bon numéro. tu ne répondais pas de suite et la femme commençait à perdre patience. « je.. patrick blossom. je veux parler à patrick blossom. » tu lèves les yeux vers alaska qui te sourit et qui attrape ta main. « qui le demande ? » tu déglutis avant de souffler un bon coup. c'est ton moment, baby. « ba.. baby. je.. son fils. son fils le demande. » tu trembles, t'as les mains moîtes, ton genou tape contre le sol. la femme ne répond plus, elle semble se déplacer, toquer à une porte et prononcer ton prénom. tu peux entendre les échos de leur conversation, légèrement. elle dit que c'est son fils, baby; il ne comprend pas. il n'a pas de fils nommé baby. c'est quoi ce prénom, d'ailleurs ? quelle idée ? tu entends l'homme s'éclaircir la voix et souffler un grand coup derrière son téléphone. « allô ? » c'est son premier mot. tu  ne réponds pas. ton regard est vide. sans émotions. « allô ? » qu'il répète. alaska serre ta main, tu reviens à toi. « patrick blossom ? » il répond positif. tu ne sais pas quoi dire. tu sèches. « qui est-ce ? pourquoi vous faire passer pour mon fils ? » il rigole. tu l'entends rire et tu n'as qu'une envie, c'est de l'instuler de tous les noms possibles. « c'est baby. le fils de vanessa. ton fils, entre autre. baby blossom. je t'ai vu à la tv. » il ne répond rien. tu as les larmes aux yeux. de rage, de colère. tu pleures parce que t'as mal. pas parce que t'es triste. « baby? » dès qu'il prononce ton prénom, tu craques. alaska t'attrape, elle a mal pour toi, elle souffre avec toi, elle est là. « je.. j'suis pas là pour faire la discussion. je.. j'veux juste me mettre au clair, patrick. » tu rigoles nerveusement avant de continuer. « t'es personne. juste un connard qui nous a abandonné et qui mérite rien de tout ce que tu possèdes. t'es qu'un lâche. un faible. » il reste muet, ne trouvant certainement rien à dire. « promis, je me tais sur ta liaison avec la prostituée du sud, aka ma mère, je ne dirai rien. seulement, tu me dois quelque chose en échange, patrick.» tu es prêt à exposer toute son autre vie. ça gâchera le reste de la sienne, celle qui mène actuellement, devant les grands journaux. tu le fais chanter, mais tu n'as pas d'autres choix. il ne te mérite pas. il mérite juste de se faire rouler et de périr. « qu'est-ce que vous voulez ? » il parle enfin. tu hausses des épaules, faisant mine de réfléchir alors qu'il ne peut rien voir de tout cela. c'est qu'un pauvre nokia que tu as entre les mains. « de l'argent. quoi d'autres ? » pourquoi t'as grandi aussi rapidement ? pourquoi t'es aussi bon à cela ? pourquoi tu ne lui as pas laissé une chance ?

et ensuite, c'est non seulement ton monde qui s'est écroulé, mais aussi le sien. celui de tout le monde. l'apocalypse.

la première chose que tu as vu, c'est un corps mort juste derrière chez-toi. mais ce n'était pas la première fois. tu as cru à un voisin qui a fait une overdose ou un groupe de jeune qui a réglé ses comptes. mais lorsque tu as vu l'état du visage de cet homme, tu as paniqué et tu es rentré à la maison en courant pour t'assurer que ta mère allait bien. soulagé, tu as vu ta mère en vie, courant partout dans la maison. elle préparait un sac à dos. c'était la folie dans toute la ville, tu as même pu volé dans un supermarché quelques trucs. tout était dans ton sac à dos. « m'man, tu fous quoi ? » elle te regarde, surprise. elle vient te prendre dans ses bras et te serrer fort dans ses bras. « on.. on doit partir.» tu regardes la télévision et tu vois les infos, tu n'écoutes que quelques paroles du monsieur. tu ne comprends pas de suite. tu penses faire un cauchemar, alors tu te pinces l'avant-bras. « baby, qu'est-ce que tu fais ?! prépare tes affaires. on s'en va! » tu déglutis avant de courir et de prendre quelques vêtements. tu remplis ton sac jusqu'à ce qu'il n'y ait plus de place. tu cours vers la porte de sortie avant de tomber sur une pile de photos. de ta mère, de toi, d'alaska. tu attrapes ces photos, les plies et les pose dans ta poche arrière de ton jean. « je.. je reviens.» ta mère n'a pas le temps de répondre que tu es déjà dehors. c'est la folie. tu entends ta mère crier, mais tu ne t'arrêtes pas. alaska vit à quelques mètres seulement. une fois arrivée devant sa porte, tu te rends compte que celle-ci est entre-ouverte. tu entres et cries le prénom de ta petite-amie partout dans la maison. aucune réponse. et là, tu as peur. tellement peur que tu as du mal à respirer. elle n'est plus là. elle a disparu. elle est partie, sans toi. ses affaires ne sont plus mal. c'est vide, tout ses tiroirs sont au sol. tu sors de là, de façon lasse. dans les rues, c'est de la folie. les gens courent partout, les voitures klaxonnent, tes voisins crient. c'est la fin. tu retournes chez-toi et le corps qui se trouvaient à quelques mètres de ta maison a disparu. tu vomis presque en sentant cette horrible odeur et la traînée de sang sur le bitume. tu vois ta mère courir avec son sac sur le dos et t'attraper dans la volée. au revoir souvenirs, au revoir maison, au revoir vie d'avant. bonjour apocalypse, cauchemars, fin du monde.

assis sur le porche de ta nouvelle maison, tu observes les alentours. la journée est ensoleillée. il fait chaud, tu as terminé ton travail à la ferme et tu attends le retour de ta mère. tu ramènes ton verre d'eau à tes lèvres et le termine en moins de quelques secondes. le re-déposant sans y porter attention, tu le fais déposes sur le rebord et il tombe sur chaque marche de l'escalier avant de se briser à la troisième marche. tu attires l'attention et tu n'aimes vraiment pas cela. une fille se rapproche, petit à petit et s'arrête à quelques mètres de toi. « tout va bien ?» tu lèves les yeux et tu peux voir une fille. blonde. les yeux bleus. « oui. » tu n'aimes pas faire la conversation. t'es un loup solitaire, avec une bouche pseudo cousue. elle hoche de la tête et commence à faire quelques pas en arrière. elle te dit quelque chose. c'est déstabilisant. « attends. tu serais pas passer à la tv, par tout hasard ? » tu te lèves et tu t'approches. aucun doute. elle ressemble à un des sept nains derrière patrick. « possible. pourquoi ? » tu l'observes avant de rire nerveusement. « oh, quel impoli. je ne me suis pas présenté. baby. baby blossom. fils de patrick blossom.» cette fois, c'est toi qui lâche une bombe. elle est bouche-bée, semble ne pas saisir toutes les informations. elle semble perdue. elle a toutes les raisons pour.   

Hohoho, tu viens d'être validé(e) jeune sauterelle des îles, mais avant de passer aux hostilités, laisse-moi te dire une chose ou deux : tout est trop parfait, je meurs devant tant de bôté.

Maintenant, laisse-nous t'abreuver avec ce tumblr de folie où tu retrouveras des gifs très très drôles (attention aux spoilers). Si ce n'est pas déjà fait, va jeter un coup d'oeil dans le bottin des avatars afin de vérifier si on ne t'a pas oublié au passage, puis tu pourras aller recenser ton rôle et ton habitation si ton personnage vit à Lafayette. Et pour que ton intégration se passe bien, va te créer une fiche de liens et, si l'envie t'en prend, une chronologie. Tu vas pouvoir également te renseigner sur la gestion de tes points et participer à un rp mission. Si tu veux, tu peux aussi aller créer un scénario ou des pré-liens afin d'aider de futurs intéressés dans la construction de leur personnage. Mais puisqu'un forum est là aussi pour te distraire un max, viens nous rejoindre dans le merveilleux flood et supporte-nous dans la promotion du forum (on te le rendra bien, avec un max de bisous et de love).

voilà, maintenant que tu es validé(e), tu peux venir faire la fête avec nous et n'oublie pas que les admins sont à ta disposition 24h/24 (et même 38h/24 si des offrandes sont faites). amuse-toi bien parmi nous.