The Day Will Come When You Won't Be nom : Fletcher.  prénom : Archibald. C'est vieux, presque autant que toi, ça empeste les rides et les mains calleuses mais, ça bousille pas la gueule. Non, Archibald, ça respire pas le type a la vie merdique pourtant dieu sait que la tienne l'est. âge : 42 ans au compteur. Attention mon gars, tu prends de l'age et comparé au vin, ça risque pas de te donner un meilleur gout. Non, ça va te creuser les joues, marquer ta peau, plomber ton regard et éclaircir tes cheveux. Fais attention mon vieux.date et lieu de naissance : Sur le canapé du salon, petite maison Londonienne, un 20 avril. Une longue histoire inintéressante.  nationalité : Un petit Anglais, t'as encore du mal a savoir comment t'as pu te perdre autant. Un bateau, et la peur qui te dévore les entrailles. Ça a si vite, de changer de vie. origines : Anglais, Irlandais, Belge, Australien. Un beau mélange pour un résultat médiocre. situation civile : Célibataire. Tu veux trouver qui ici, des gens qui couchent pour oublier, ou des idéalistes de l'amour, qui s'accrochent a ça comme a une bouée quand on tombe d'un bateau ? Très peu pour toi. Vraiment. orientation sexuelle : Orientation indécise. C'est bien beau les courbes des femmes mais, un coup de rein bien viril, c'est étrangement plus agréable une fois dans le feu de l'action.ancien métier : Flic deja a la retraite. T'as toujours eu du mal a garder tes nerfs, il faut bien l'avouer. ancien lieu d'habitation : Un appartement miteux dans le cœur de Londres. Au moins maintenant t'as plus a supporter cette connasse de concierge. T’espère secrètement qu'elle se soit faite bouffer. camp actuel : T'es plus dehors, t'es plus tout seul. Dans le fond ça te fais chier. Mais, t'es la, a prendre sur toi, parce que sans ça c'toi qui risque de te faire bouffer. L'instinct de survie est trop fort pour ouvrir sa gueule, trop fort aussi pour te décider a pas rester dans l'ombre, comme tous ces cons. groupe : The good man. Etrange pour un type qui se retrouve dans la milice. Mais, bon, faut pas mentir, t'aimes ça, cogner, gueuler, etre sous les ordres autant que les donner. Ça te fais bander ça, l'autorité. crédits : écrire ici (Eden Memories).   just survive somehow. (001), T'es un con, ho attends, comment ça c'est pas une anecdote. Comment ça tout le monde est au courant ? (002), T'es pas vraiment aussi insensible que t'aimes le dire, n'est ce pas ? Après tout, t'as donné la moitié de ta vie a sauver des gamins. Parce que c'est dans cette branche que t'as fais ton trou dans la police. Parce que c'est de la, qu'elle vient, ta rage. C'est a cause de tout ça, que tu supportes pas l’être humain. Parce que tu sais ce dont il est capable. (003), T'as perdu ton boulot, toute ta pauvre vie pathétique, pour un gamin de quatre ans. Un gamin de quatre ans, crevant sous les coups d'un père, tous les soirs un peu plus. T'as presque eu raison de lui. A un cheveux, a un rien, un grain de sable, justement, tu pouvais croupir en prison. A un grain de sable, t'as juste perdu ton travail, et ta dignité avec.  (004), petit mais teigneux. Un simple mètre soixante quatre. Pas bien grand pour un homme, encore moins pour un ancien flic adepte des coups de poings biens placés. (005), T'as fais des choses, depuis cette foutue fin du monde, qui meme moi me fou la gerbe. Aucune once de pitié a planter quelqu'un, juste pour un doute, un soupçon. Aucun remord a avoir, c'est comme ça que tu vois les choses. Aucun remord, parce que maintenant c'est comme ça que le monde fonctionne. Sans philtre et sans tabou. (006), T'aurais du y passer. Une fois, deux fois, dix fois, quinze fois. Quand je dis que t'es un cafard, je raconte pas de la merde mon gars. T'es increvable, et ça fais presque chier, parce que tu la mérite pas ta putain de chance.(007), T'as une obsession pour les reptiles. Surement parce qu'ils sont un peu comme toi. Froid, distant, indifférent et dangereux. Alors, avant tout ça, t'avais un vieux compagnon de fortune, et connement, je suis sur que tu te dis qu'il est encore en vie. Comme toi. Deux cafards insensibles perdu dans ce monde trop vaste. (008), Accroc a la nicotine. Une aide infime pour que tes nerfs ne viennent pas a lâcher trop facilement. Sauf qu'ici, la clope, c'est pas le truc le plus courant du monde. Alors tes nerfs en payent le prix fort, et tant pis pour celui qui  se trouve sur ta route quand t'as le sang qui bouillonne.  (009), Concrètement, t'aimes les courbes féminines mais, t'as le cœur qui s'enflamme pour les hommes. Mais, ça, t'assumes pas. Et concrètement tu ne risques pas de le faire un jour. Conservateur de merde vas. Honte de ça mais, presque fier de tes phalanges explosées a cause de tous les coups que t'as pu donner. (010), Et la, j'vais rien dire. Juste pour confirmer le fait que t'es jamais capable d'aller jusqu'au bout de tes conneries.

âge : 19 patates fuseau horaire : 18-22hfréquence de connexion : quasiment tous les jours où avez vous connu le forum : bazzart ! avis & suggestions : le forum est magnifique   votre mot de la fin : et vous aussi  

T'es comme ça, c'est plus fort que toi. Sale con vas. Restes la, dans ton coin, comme un rat après tout, c'est la seule place qui te va. Pathétique. Hurlement dans l'immeuble. Tu viens de te faire virer mais, mon gars, viens pas prendre cet air étonné, t'as bien cherché. Chercher la merde, pour venir s'y noyer. Une mort grotesque et a la limite du risible. Exploser, ce qui peut l’être. Balancer les meubles, faire voler les plus elles injures que tu connais. Ça se perdra dans le vent de toute façon, alors vas y, hurle, pète toi un poumon, voir deux. Ça changera rien, ça aussi. Parce que t'es rien, rien, rien, putain de rien, poussière sous le lit, futile, inutile. Connerie. Ho, mais que vois-je ? Une lueur dans le regard, quelque chose qui empeste. Je le sens d'ici, jusqu'aux tréfonds des enfers. Ça s’immisce. Cancer vulgaire. Ho oui, ça empeste la haine, la rancœur, ça empeste l'amertume. T'as l’âme totalement rongée. Un cadavre en putréfaction. le zombie ici, c'est toi mon vieux. Pas eux. Comment ça, t'es pas encore au courant ? Ho t'en fais pas, ça viendra.

Tu viens de te faire virer. J'vais pas te donner raison mais, je dois bien avouer que ce type mérite rien d'autre. Une belle corde autours du cou, ho oui ça te fais bander ça. La bave au coin des lèvres et les yeux révulsés. Quelques soubresauts, un tremblement et ce bruit. Ce crac. C'est jouissif tout ça, n'est ce pas ? Ne viens pas nier, ça ne serait pas digne de toi. Après tout, tu es connu pour toujours dire ce que tu penses, toujours assumer tes actes. C'est pour ça que t'en es la. La, a tout bousiller, a retourner l'appartement, comme si t'avais paumé ta dignité sous un coussin du canapé.

Le monde est entrain de perdre la tete, et toi avec. Ho mais, attends, c'était deja le cas avant. Tous des cons. Oui, tous des cons. le monde manque de cordes, a foutre autours de vos cous. je sais que tu penses la meme chose que moi. T'es violent, malsain, un putain de conservateur.  Que tout le monde reste a sa place, sa petite place confortable et sans histoire. Et toi, toi t'es ou dans tout ça. Au sommet bien sur, comment t'imaginer ailleurs mon con ? Bam. Accident. Bouteille d'alcool. Dommage, c'est brutal et destructeur. Une telle chute, ça tue un homme. Qu'importe lequel. T'es plus rien. Quoi que si, t'es ce type a la voix lourde et aux gestes rapides. Les phalanges couvertes de sang, et ce sourire, ce sourire mon gars, j'en vois rarement des comme ça. ce sourire, qui te fou en vrac, qui te fais changer de trottoir, parce que bordel, c'est pas normal, c'est pas humain, d'aimer a ce point, bousiller une vie. T'es bien pire que ceux que t'as pu traquer toute ton existence.

Humour gras et rire amer. Ça se fait bouffer dans le petit écran. Sérieusement, t'es entrain de te marrer ? Pourquoi ça ne me surprend meme pas ? Parce que c'est prévisible après tout. t'as une haine intarissable a l'égard de la race humaine. Qu'elle y passe, ça changera pas grand chose, ça aussi. T'es insensible a ce point ? Pas vraiment pour autant. Y a juste un truc qui cloche. Un truc qui te fais péter les plombs. Un truc de travers, qui remet tout en question, et qui fou pas mal de choses en l'air.

T'entends les gamins hurler. Sortir en trombe, dévaler les marches, hurler sur la concierge. T'as jamais pu l'encadrer. C'est la dernière fois que tu la croise, et tant mieux. Qu'on la bouffe, ça changera pas grand chose. Juste des grains de sables. Un coup de vent, quelques uns qui viennent a disparaître, qu'importe, la plage ne changera pas de gueule pour autant. Un soupir, un râle, et la vision de la vie qui part totalement en vrille. Un gamin entrain de se faire arracher la moitié du cou. Ça balance des, maman, maman ps ça, maman lâche moi. Ça gémis, et ça crève. Comme ça, d'un coup, dans un de ces cracs qui te font bander. Sauf que la, t'aimes pas ça hein. Ça te fous la gerbe. Au sens propre du terme. T'étale tes tripes sur le sol couvert de sang. Ça te retourne l'estomac. Tu fais pas ça, parce que ça te dégoûte mais, parce que la douleur est trop grande. C'est concret, c'est la, juste devant toi, et tu ne ris plus.

Parce que t'avais de l'influence, parce que t'as eu la putain de chance d’être quelqu'un. T'es la, sur ta cage dorée, le cœur gonflé de culpabilité. Y a des gamins qui meurent la, dehors, et t'es dans une petite cellule marine délicate. Ton pays vient de tomber aux griffes du diable. Alors tu fuis. Le plus loin possible, avec des centaines d'autres. Le gosse dans les bras de sa mère, et le père qui se tient dignement sur le ponton. Puis y a toi, seul. T'es né ainsi, t'as grandis d'une manière semblable et crois moi, tu vas crever aussi comme ça, dans une solitude morbide. Je le sens ton ventre qui se noue, et ton sang qui bouillonne. T'es pas sincèrement envie de lutter, de te battre dans ce combat perdu d'avance et pourtant, pourtant c'est plus fort que toi. Un véritable cafard. Qu'on te balance une bombe sur la gueule, t'en as pas grand chose a foutre après tout. Quasiment immortel. Tu te faufile a travers les filets de la mort. Petit etre mauvais.

Le chaos. La folie abonde, creuse son trou, et attend sagement que l'on vienne y tomber. Piégé a tout jamais. Tu vas en voir crever, des gens, et tu ne feras pas grand chose. Tu vas les sortir, tes poings, t'aimes tellement ça après tout. T'as au moins ce mérite. T'es courageux.   Un vrai héros de film d'action, la meme rage au ventre mais, les muscles en moins, et le gout du sang en plus. Tu vas te battre, pour des gens don tu te fous, et pour d'autres, que t'auras maladroitement appris a aimer. Aucun ne survivra. Personne sauf toi. Parce que c'est comme ça, c'est en toi. La mort te connait pas mon gars. Elle sait meme pas que t'existe, alors comment pourrait-elle tenter de te rattraper ? Tu seras le seul a trouver le camp. En quelque sorte. C'était ça, la promesse basique, une endroit parfait, en lieu sur, un endroit sain et sans dangers. C'est pour ça que t'as tout quitté, parce que t'as eu la folie de croire les dires d'un inconnus, juste parce qu'il avait l'uniforme parfait pour mentir.

T'es arrivé ici, en lambeaux. L'esprit tout aussi détruit que le corps.  T'es arrivé, et t'y as fais ta place. Comme tu le fais toujours, après tout. Parce que tu sais comment ça marche, tu sais comment toute cette merde fonctionne et comment en faire partie. Salaud dans l’âme. T'as plus que la rage, comme celle après l'échec, après l'abandon, après ce frisson en les voyant tous y passer, pour une connerie, pour une erreur surement humaine d'ailleurs. Tu souris a la femme, en sachant que ce soir, t'iras en coller une a son mari. Pour une broutille, juste parce que les ordres viennent d'en haut et qu'encore une fois, c'est comme ça que ça marche.  le fils que t'as abandonné, a qui t'as détruit la cervelle, pour un doute de contamination. Demain, tu iras sourire a sa mère. Gentiment, un sourire remplie de compassion. Un sourire faux parce que dans le fond, t'es toujours le meme connard qui penses que ça ne changera rien. C'était qu'un grain de sable, ça changera rien. Strictement rien. Mais, tu souris parce que c'est comme ça que ça marche, a coup de mensonges. Ça marche comme ça, de manière merdique. Mais, t'en as pas grand chose a foutre hein ? Parce qu'a après tout, toi aussi t'es comme ça. Toi aussi t'es merdique.

Hohoho, tu viens d'être validé(e) jeune sauterelle des îles, mais avant de passer aux hostilités, laisse-moi te dire une chose ou deux : un milicien anglais, sexy, que demander de plus.

Maintenant, laisse-nous t'abreuver avec ce tumblr de folie où tu retrouveras des gifs très très drôles (attention aux spoilers). Si ce n'est pas déjà fait, va jeter un coup d'oeil dans le bottin des avatars afin de vérifier si on ne t'a pas oublié au passage, puis tu pourras aller recenser ton rôle et ton habitation si ton personnage vit à Lafayette. Et pour que ton intégration se passe bien, va te créer une fiche de liens et, si l'envie t'en prend, une chronologie. Tu vas pouvoir également te renseigner sur la gestion de tes points et participer à un rp mission. Si tu veux, tu peux aussi aller créer un scénario ou des pré-liens afin d'aider de futurs intéressés dans la construction de leur personnage. Mais puisqu'un forum est là aussi pour te distraire un max, viens nous rejoindre dans le merveilleux flood et supporte-nous dans la promotion du forum (on te le rendra bien, avec un max de bisous et de love).

voilà, maintenant que tu es validé(e), tu peux venir faire la fête avec nous et n'oublie pas que les admins sont à ta disposition 24h/24 (et même 38h/24 si des offrandes sont faites). amuse-toi bien parmi nous.