The Day Will Come When You Won't Be nom : hobbs, sommet de l'échelle sociale, qu'elle n'aurait perdu pour rien au monde. hobbs qui ouvre les portes, peu importe le milieu, le domaine. y'a peu de choses auxquelles elle peut encore s'accrocher, son nom en fait partie. prénom : Gwendolyn, Mary, Eleanor. Trois prénoms plus pompeux les uns que les autres. Elle n'a jamais été que Gwen. âge : trente-huit ans, la quarantaine qui se rapproche à grands pas, crainte autrefois, pour laquelle elle ne ressent plus que de l'indifférence aujourd'hui. date et lieu de naissance : Washington d.c, le cinq août, sous le signe astrologique des leaders, lionne-née. nationalité : américaine. origines : les cheveux de blés et l'azur dans les yeux, cliché ambulant, l'Allemagne fût la patrie de sa génitrice. situation civile : veuve, les mains toujours rouges du sang du défunt qu'elle a envoyé à l'abattoir. orientation sexuelle : hétérosexuelle, jusqu'à preuve du contraire. ancien métier : soldat du monde médical, elle était médecin militaire spécialisée en traumatologie. La vie bien rangée n'a jamais été faite pour elle, trop entichée de l'action et du danger. Se retrouver sur le devant du front, ça, ça lui plaisait. ancien lieu d'habitation : ici et là. Domiciliée à Washington d.c, elle était bien plus souvent à l'étranger que chez elle. camp actuel : lafayette où elle règne telle Louis XIV. groupe : the good man. crédits : hathaways - avatar.   just survive somehow. (001), née dans une famille conservatrice, où chaque membre étudie d'abord dans le privé avant d'intégrer une université faisant partie de la Ivy league. Ceux échouant ou s'écartant du chemin l'ont toujours regretté, tôt ou tard. Il y avait d'ailleurs une grande tapisserie dans le salon d'hiver, dont les moutons noirs étaient rayés, brûlés, éliminés. Elle a toujours comparé sa famille aux Black, issus de la saga de J.K Rowling. La seule et unique différence n'a jamais été que l'absence de magie entre les murs de la demeure. (002), quatre têtes blondes chez les Hobbs, quatre tempéraments diamétralement opposés, le tout soldé par un lot de drames incontesté. Entre l'aîné trop faible pour porter un tel patronyme sur ses frêles épaules, le cadet renié et rayé de la catégorie héritier valable à cause de son penchant un peu trop présent pour les petits copains de sa sœur, et les enfants du milieu dressés l'un contre l'autre comme des chiens de combat, rares étaient les journées où tout se déroulait sans problème. (003), on lui prête une tendance à catégoriser un peu trop facilement autrui, n'accordant que très rarement un second regard sur ce qu'elle considère comme acquis. A contrario, elle est capable de se remettre en question lorsque c'est nécessaire. Elle est un euphémisme à elle seule, paraît-il. (004), niveau d'existence exigeant, éreintant, lot de tout enfant de, fille et fils de. L'argent coule à flot, les billets servent à essuyer les larmes amères, alors de quoi osent-ils se plaindre ? Danse classique, piano, violon, cours de langues et arts martiaux, le père a toujours été persuadé que les enfants avaient besoin de discipline et que l'inverse causerait la perte du monde. Certaines personnes se seraient retrouvées désarmées face à une éducation aussi froide et vicieuse que celle des hobbs, elle n'a fait que renforcer le tempérament de l'unique fille de la fratrie, dont on ne voulait pas, quel euphémisme. Les frères écrasés, piétinés, elle s'est retrouvée enfant prodigue. Et c'était presque trop facile. (005), c'est par désire de grandeur qu'elle est entrée en fac de médecine, bravant les accusations de son père, scandant et aboyant à la trahison lors de son abandon pour la politique. La traumatologie s'est imposée après sa première année d'humanitaire et avant ses années au front, au cœur de l'action. Premiers sentiments d'utilité qu'elle n'est pas prête à oublier. (006), se marier, pourquoi pas. Bien qu'elle ait été plutôt réfractaire au début, elle a fini par se laisser passer la bague au doigt -ou la corde au cou, tout dépend du point de vue, tout faisant bien comprendre au cher et tendre qu'il n'était tout simplement pas la peine d'espérer qu'elle perde son nom pour le sien, et encore moins de poser un genou à terre avec une bague contenant moins d'un certain nombre de carats. (007), élitiste depuis son plus jeune âge, les enfants de sa classe défilaient devant ses yeux en vantant leurs atouts afin de permettre un choix digne et intéressant. L'amitié n'a jamais été vue que dans un but particulier : en tirer profit. Digne fille d'un père aux ennemis nombreux, mais aux alliés inestimables. Si les autres membres du conseil l'écoutaient plus souvent, lafayette serait beaucoup moins peuplé. Elle n'a réellement cure que d'une poignée de personnes, en fin de compte, et elle accorde généralement plus de crédit aux femmes, estimées comme des valeurs plus sûres dans de nombreux domaines. (008), avoir du cœur et faire dans la demi-mesure, c'est des choses que les membres du conseil ne peuvent se permettre et si certains éprouvent des difficultés à le comprendre, tant pis. Elle se fiche pas mal de l'opinion qu'on a d'elle, des regards de travers. Au fond, elle se demande si c'est pas juste question de facilité : si on pense qu'elle ne ressent pas d'émotions, c'est que ça doit être le cas. (009), la couardise est sans l'ombre d'un doute le trait d'une personnalité qu'elle condamne sans y réfléchir à deux fois. Manque de chance ou ironie du destin, son défunt époux en était roi. C'est, elle en est persuadée, ce qui a entraîné la mort (potentielle, car comment en être certaine ?) de leur seule et unique fille. (010), difficile à cerner, certains éléments ont le don de réellement la bouleverser, d'autre de la laisser un peu trop insensible. Découper un vivant de haut en bas ou planter une machette dans la tête d'un rôdeur ou faire régner une justice douteuse, pourquoi pas. Entendre non, alors que la réponse qu'elle attendait était oui, là ça pose problème. C'est peut-être vrai, après tout. Elle doit avoir des allures de tyran sous ce visage de poupée.

âge : twenty onei. fuseau horaire : Belgique. fréquence de connexion : 5/7 on va dire    où avez vous connu le forum : j'ai suivi la lumière. avis & suggestions : vous êtes parfaits, so...   votre mot de la fin :  

"so, how does it feel like to be a bitch ? — i don't know, ask yourself." La tempête produit un vacarme assourdissant au-dehors : la pluie bat contre les vitres de l’immense villa et les branchages aux allures lugubres en ce début de soirée de décembre viennent régulièrement se fracasser contre les carreaux de verre trempés. Les éclats de voix se perdent dans le tumulte infernal du temps qui se déchaîne, sage annonce d’une apocalypse bien trop proche. " Oh Alban, you little slut. " Dean, son frère aîné a ce sourire qui en dit long sur le fin fond de sa pensée, bien plus que s’il ouvrait la bouche. Non pas que s’il le faisait, quelque chose d’intelligent pourrait en sortir, remarque. " What’s wrong with you guys ?   — I’m gonna kill our brother. " L’aîné de la bande fronce les sourcils, fait la navette entre ses cadets, posant le regard sur chacun d’entre eux tour à tour. " He slept with Gwen’s boyfriend, that’s just.. dad’s gonna kill you. —  Or i’m gonna do it first. What do you think about that ? » Il a ce petit air. Celui qu'arborent tous les membres de la famille, où se mêlent arrogance et détachement. " Look like a good idea, i’m waiting for this since… well, forever —Stop, we need to focus and keep calm, okay ? " Nate, le pacifiste. Nate, le médiateur, qui se dresse entre son frère et sa sœur, quitte à se prendre un mauvais coup. Nate, le sous-estimé. " Keep calm ? Are you fucking kidding me ? " La porte du bureau de leur père s’ouvre à la volée. Il se pince l’arrête du nez, l’air fatigué et soupire longuement. " Gwendolyn, language ! " L’interpellée ferme les yeux quelques secondes, puis secoue la tête. " What? It's not like you've feelings for him, right? I heard you talk about it last night. So what's the problem ? " Un silence durant lequel les enfants Hobbs se regardent en chiens de faïence s'empare de la pièce. Le patriarche toise à son tour Alban, comme s'il avait compris, avec un mélange de dégoût et d'exaspération. " Go to hell. — Yeah, see you there. " Elle aurait pu l’étouffer dans son sommeil, cette soirée-là.


" You just can't stay here, right ? And I know you could. Daddy said it last night. Aren't we enough ? — do not be a baby, I'll be back as soon as... " Mais les paroles se perdent. Lydia n'en a cure. Elle lui tourne le dos et quitte la pièce en secouant la tête. Tant pis. Lydia peut l'attendre quelques mois de plus, pas les patients. Le soir-même, elle est dans l'avion pour le front.


" Really Lydia ? Are you fucking serious ? — mum, he just deserved it ! you told me to punch him if.. " Le regard du principal se tourne dans sa direction, un sourcil arqué, visiblement intéressé par la tournure que prennent les événements. " What ? Pfft. Never. " Pour une fois que c’est elle qui se pointe au rendez-vous donné par le directeur de l’établissement, dont les grosses lunettes arrondies donnent l’impression de scinder son esprit, elle ne va pas rechigner à la tâche. Elle ne va pas se plaindre. " But you… — Lydia, sweetie, shut up. " L’adolescente laisse échapper un long soupire, croise les bras et se laisse glisser contre le dossier de la chaise inconfortable sur laquelle elle a posé ses fesses quelques minutes plus tôt.

" For god’s sake Lydia, I told you to punch him, but not when people were looking at you ! Are you stupid ? – oh scuse-me, i didn’t know I was going to break his nose, it wasn’t on purpose. God, he was such a douche. " Elle sait déjà tout ça. Il y a un long silence durant lequel elles marchent, l’une le nez plongé dans son sac à main à la recherche des clés de voiture, l’autre le regard perdu dans la vague avant que Lydia ne se lance dans un long monologue justifiant ses actions. Quand Gwen sent son taux de patience, qui n’est jamais relativement élevé, atteindre son sommet, elle laisse un sifflement lui échapper. " Okay, come on, gimme your hand. " Arrivées à hauteur du véhicule, mère et fille s’arrêtent. Lydia hausse un sourcil, peu certaine de pouvoir lui accorder sa confiance. Quand elle s’exécute enfin, Gwen l’examine quelques instants avant de rouler des yeux. " You know what ? Next time leave the thumb outside of the fist when you clinch. Good way to avoid damages. " Nouveau silence. L'adolescente ferme son poing, cherchant à suivre les conseils de sa mère et fronce les sourcils avant de relever ses grands yeux bleus vers elle. Oh come on. Gwen déplace le pouce de sa fille pour le placer au bon endroit, puis resserre sa main sur son poing avec une légère insistance. " Okay ? – Okay. "


"Am i dying ? — yep." Du coin de l’œil, elle aperçoit les traits de la gamine se décomposer au fur et à mesure que l'information lui parvient, qu'elle l'enregistre. Dans son dos, un autre médecin se racle la gorge, comme pour la rappeler à la raison. Ah, l’empathie, c'st vrai. S'il n'avait été question que d'elle, elle l'aurait laissée repartir avec l'idée d'une mort imminente en tête. Peut-être qu'elle aurait cessé de venir lui demander toutes les heures si elle n'était pas atteinte d'une maladie quelconque. " Okay, just kidding. " Elle doit pas avoir plus de huit ans et quand elle fronce les sourcils, tellement fort sous la contrariété d'avoir été dupée si facilement, elle donne l'impression qu'elle va exploser. " get out of here now. " Nouveau froncement de sourcils. Gwen sait qu'elle n'est pas sortie de l'auberge. Où sont les parents quand on a besoin d'eux, bon sang ? " I love being here. It is quiet. Il y a un soupire qui se perd. " It was quiet, yeah. " Elle est suffisamment futée pour relever la nuance, Gwen en est certaine. Cette fois c'est la petite qui soupire. C'est pas sérieux. " You don't need to be mean. And you should drink, you can take my water if you want. " D'où elle sort, déjà ?

" Wait. " Parce qu’elle a besoin de comprendre. Elle a besoin de reprendre son souffle. Elle a besoin d’espace. Elle a besoin d’un tas de choses, et Nick ne semble pas comprendre ça. Ne semble pas, ou ne veut pas, là est la question. " How can you juste lose our daughter ?I mean… It’s not something that can happen you know ? – it-it’s not that easy. And in fact, you lost her once, while you're....  " Gwen secoue la tête, le repousse sans ménagement, tandis que son estomac lui fait comprendre que si elle ne se calme pas, il risque de faire de sacrés dégâts. " Well it seems pretty easy to me. You. Lose. Our. Daughter. " Elle recule, mais il s’avance et la gifle tombe sans qu’elle n’en prenne réellement conscience. Quand elle le fait, c’est trop tard. C’est toujours trop tard. " I need space. " Elle a perdu Lydia dans un centre commercial, une fois. C'est arrivé une fois et elle l'a retrouvée dans les dix minutes suivant la perte. Ça ne compte pas. Ça ne compte pas, parce qu'il ne lui est rien arrivé pendant ces dix petites minutes. Les proportions sont bien différentes, à l'heure actuelle. " And you're just standing there, like it's normal to let her alone outside. You're such a jerk – I'm not going out of this walls again. " Elle a le temps de sentir sa main droite lui piquer douloureusement la paume avant que la seconde gifle ne s'abatte sur la joue d'un mari poltron, cette fois-ci.  " You're not staying here, dumbass. Be back with my daughter or I swear to god I'll give you to the walkers myself. Do you hear me ? " Il l'observe longuement, l'air mauvais et lance, un peu comme s'il la défiait : " don't you dare – oh, watch me. "


" It's okay, she's alive. "
" You do not have to do that, please. "
" Do you hear me ? "

Elle s’était toujours dit que ça serait plus facile avec le temps. C’est ce qu’ils se répètent tous, inlassablement, comme une douce litanie incessante. " You have no right to ... she’s just a little girl. " C’est un peu comme un fond sonore qu’on écoute de loin tout en faisant une activité plus importante. Quand un professeur corrige ses copies, il y a ce fond sonore. Quand on rentre du travail tard le soir en voiture, il y a ce fond sonore. Quand on cuisine, il y a ce fond sonore. Les plaintes, ce n’est jamais que ça. C’est à peine si elles parviennent jusqu’à ses oreilles. Elle essaye de faire en sorte qu’elles ne soient qu’un vague murmure, du moins. Et essayer ça donne pas toujours le résultat attendu. " Not anymore, and you know it. You get a bite and you die, it’s how it works. " Combien de fois elle allait devoir expliquer cette putain de chose ? Si c'était sa fille, elle préférerait qu'on lui défonce le crâne que de la laisser devenir une chose pareille. Ils devraient la remercier.

Parce qu'au fond, elle espère que si quelque chose de semblable est arrivé à Lydia, quelqu'un a eu la décence, l'humanité, d'abréger ses souffrances.

C'est ce qui est juste.
Ça doit être juste.
Et si elle ne le fait pas, qui le fera ?


" Are you okay ? " Elle titube sur quelques mètres, tourne à une intersection et se plie en deux. Elle regrette amèrement de n’avoir rien avalé lorsqu’on lui a proposé quelques heures plus tôt. Non pas qu’elle aurait été capable de le prédire, mais remettre l’estomac vide, c’est particulièrement douloureux. Elle ne sait pas trop ce qui lui fait le plus mal, pourtant. L’image de la gamine, une balle dans la tête, ou les soubresauts réguliers qui secouent son corps, tandis qu’elle déverse le mince contenu de son estomac au sol. Quand ça finit par passer, parce que si la douleur est vive et brûlante, elle n’est pas éternelle, elle se redresse, le dos bien droit. " I’m fine.  " C’est toujours drôle de voir à quel point elle essaye de se convaincre. " Wow, so… You’ve a heart ? " Elle dodeline la tête. Olivia, neuf ans, une proportion inimaginable à exaspérer Gwen depuis qu’elle est arrivée au camp. " Shut up. It’s you, I’m sick because of you. " Il roule des yeux. Aucune crédibilité. " You can always try to convince yourself. "

Hohoho, tu viens d'être validé(e) jeune sauterelle des îles, mais avant de passer aux hostilités, laisse-moi te dire une chose ou deux : han lala, gwen is my queen. pas sûre et certaine que tous les survivants partageront mon avis, mais osef : le conseil is life, le conseil is love.

Maintenant, laisse-nous t'abreuver avec ce tumblr de folie où tu retrouveras des gifs très très drôles (attention aux spoilers). Si ce n'est pas déjà fait, va jeter un coup d'oeil dans le bottin des avatars afin de vérifier si on ne t'a pas oublié au passage, puis tu pourras aller recenser ton rôle et ton habitation si ton personnage vit à Lafayette. Et pour que ton intégration se passe bien, va te créer une fiche de liens et, si l'envie t'en prend, une  chronologie. Tu vas pouvoir également te renseigner sur la gestion de tes points et participer à un rp mission. Si tu veux, tu peux aussi aller créer un scénario ou des pré-liens afin d'aider de futurs intéressés dans la construction de leur personnage. Mais puisqu'un forum est là aussi pour te distraire un max, viens nous rejoindre dans le merveilleux flood et supporte-nous dans la promotion du forum (on te le rendra bien, avec un max de bisous et de love).

voilà, maintenant que tu es validé(e), tu peux venir faire la fête avec nous et n'oublie pas que les admins sont à ta disposition 24h/24 (et même 38h/24 si des offrandes sont faites).   amuse-toi bien parmi nous.