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 ▴ l'épidémie.

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the dead man
the dead man

ADMIN ▴ KEYS TO THE KINGDOM.
▴ inscrit le : 14/02/2017
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MessageSujet: ▴ l'épidémie.   ▴ l'épidémie. EmptyMer 15 Fév - 14:59



l'épidémie
ready, aim, fire.
chronologie
20/09/2015 : premier cas du virus constaté à Alberta, en Alabama. Un jeune homme a été aperçu déambulant dans les rues à la nuit tombée, attaquant les individus, essayant de les mordre. Si les premières personnes agressées ont été assez rapides pour s'enfuir sans demander leur reste, une jeune femme dont la jugulaire a été arrachée n'a pas eu cette chance. L'événement a été étudié à l'excès par les médias.
21/09/2015 : La jeune femme à la jugulaire arrachée s'est réveillée à la morgue et a attaqué les employés de l'hôpital. Apparition des militaires sur les différents lieux de massacre.
01/10/2015 : Malgré tous les efforts mis en place par les militaires pour contenir les individus contaminés dans un seul et même endroit, des accidents ont lieu et le virus commence à se propager de manière évidente en Alabama. Les médias s'emparent de nouveau de l'affaire et font un lien évident avec le premier cas apparu en septembre. Le gouvernement s'abstient de tout commentaire public.
11/10/2015 : Le virus passe les frontières et se répand dans les autres États. On entend les sirènes retentir dans les capitales et grandes villes, pressant les gens à fuir et à se diriger vers les plus petites agglomérations. Les plus courageux préfèrent toutefois rester, faire le plein de provisions et se barricader.
13/10/2015 : Il y a une montée flagrante du vandalisme dans approximativement tous les États-Unis. Les actions des militaires sont entravées par des activités criminelles qui s'amplifient.
06/11/2015 : Le gouvernement presse désormais les individus à se rendre dans différents Etats (Washington, Floride, Alaska, Arizona, Maine et Arkansas) où des camps de survivants massifs ont été créés. Mais les camps ne tiennent pas face à la montée du nombre de rôdeurs. Ils sont tous détruits avant fin novembre 2015.
23/11/2015 : La Maison Blanche ne répond plus, le gouvernement est tombé.
29/11/2015 : La dernière chaîne de télévision (CNN) encore en transmission s'éteint.

A ce jour, il est impossible pour les survivants de savoir concrètement l'état dans lequel se trouve le monde aujourd'hui. Les chances d'être à présent sauvés semblent être particulièrement minces et même les plus optimistes semblent baisser les bras, après une attente qui n'arrête pas de s'éterniser. Avec la disparition de CNN, la fameuse chaîne de télévision à laquelle beaucoup d'individus se raccrochaient avec l'ardeur du désespoir, il est infiniment plus compliqué de savoir quels camps ont été mis en place et si ceux-ci sont toujours d'actualité. La mise en veilleuse des médias a plongé les Etats-Unis dans le noir.


le virus, ce que l'on sait
Dans l'imaginaire commun le virus est ce qui est transmis des morts-vivants, aussi appelés rôdeurs par la majorité des survivants, aux êtres humains. A l'instar des créatures dans les séries télévisées, les rôdeurs se nourrissent de chair humaine ; une morsure suffit à rendre une personne humaine et en bonne santé l'une des leurs. Le virus transmis rend l'individu touché extrêmement fiévreux en moins de douze heures, l'oblige à éviter le moindre déplacement au bout de vingt-quatre heures et arrête son cœur en quarante-huit heures. Durant cette marge de vingt-quatre heures, les souffrances subies sont affreuses et insupportables. Une fois l'individu cliniquement mort, ce dernier revient à la « vie » moins de six heures après l'arrêt de son cœur, faisant de lui un rôdeur. La dégénérescence des tissus se produira inévitablement, et les cadavres en parfait état à l'origine seront décharnés et pourris au bout de quelques semaines.

Si cette transmission est extrêmement redoutée, il a fallu peu de temps aux survivants pour se rendre compte que ce virus n'était que la partie immergée de l'iceberg. Les morts naturelles ont permis aux humains de se rendre compte que, même s'ils n'étaient pas mordus ou griffés par un rôdeur, le simple fait de mourir les transformerait en monstres. Les plus optimistes disent que le virus est dans l'air, les pessimistes imaginent qu'il est dans leur sang. Mais sans représentation gouvernementale, tout est sujet à l'hypothèse.

La survie ne tient qu'à une chose : se protéger, se cacher. A savoir qu'un rôdeur sera définitivement mort si on lui plante quelque chose dans le crâne, touchant ainsi son cerveau – le port d'arme est alors plus que permis et encouragé. Généralement, les rôdeurs se baladent en horde ; attirés par le bruit, ils sont capables de parcourir des kilomètres après avoir entendu un coup de feu. Lents, ils semblent inoffensifs – mais lorsqu'il y en a une dizaine à votre poursuite, ils prennent soudain des allures de bêtes redoutables. Si les rôdeurs sont généralement les cibles à abattre, le monde – ayant pris des allures anarchiques – regorge d'humains qui aimeraient bien vous faire la peau et pour qui la mort fait partie du quotidien et est donc devenue sans grande importance. A travers tous les Etats-Unis, à travers le monde, des groupes de survivants fleurissent et leur mission n'est pas celle de garder la vie sauve. Ils veulent exploiter, faire régner la terreur, prennent en mains les pouvoirs abandonnés par les différents gouvernements / figures d'autorité. Ces gens-là sont à éviter bien entendu comme la peste et attention si vous les rencontrez, vous n'en sortirez peut-être pas sans séquelle.
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▴ l'épidémie.

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